— Par Jean-Marie Nol —
«Crier haro sur le baudet.» Cette drôle d’expression continue de faire vivre le mot «haro». Elle désigne une «manifestation d’indignation, de réprobation envers quelqu’un/quelque chose qu’on désigne comme responsable», ainsi que l’indique le Trésor de la langue française.C’est à La Fontaine que l’on doit la postérité de l’expression. Dans sa fable Les Animaux malades de la peste, le lion, le loup et d’autres puissants décident d’accuser un âne innocent d’être à l’origine de l’épidémie ; toute la faute est remise sur le baudet: «A ces mots on cria haro sur le baudet». Vous l’aurez compris dans le sujet qui nous préoccupe et dans le contexte d’actualité du congrès des élus de la Guadeloupe, le baudet c’est l’article 73 du statut de départementalisation. Depuis plusieurs années et encore ce mois ci le 17 juin 2025 , la Guadeloupe est le théâtre d’un débat institutionnel majeur : celui d’un éventuel changement de statut. Ce débat, aujourd’hui relancé avec insistance par nos élus à travers les congrès successifs et la promesse d’une « loi organique relative à l’évolution statutaire de la Guadeloupe », peine à convaincre une population de plus en plus sceptique.

— Par Jean-Marie Nol —
Les illusions perdues de l’autonomie face à la réalité implacable du desengagement de l’État !
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi la Guadeloupe doit dorénavant miser sur le tourisme de santé et de bien-être ?
Quand l’identité antillaise vacille : la créolité devient un mirage , et le métissage culturel inopportun de sens !
— Par Jean-Marie Nol —
Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
De la nécessité d’un grand musée de l’histoire de la Guadeloupe pour la transmission de la mémoire et la thérapie des traumatismes passés et actuels .
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Peut – on encore sauver le système social de la départementalisation aux Antilles ?
utre-mer vont trinquer !
— Par Jean-Marie Nol —
La classe moyenne guadeloupéenne désormais coincée entre déclassement économique, désillusions sociales et insécurité croissante .