Étiquette : Emily Watson

 » Tu ne mentiras point », un film de Tim Mielants

Mardi 17 juin – 19h | Dimanche 22 juin – 19h |Jeudi 26 juin – 19h | Madiana |

Par Enda Walsh, avec Cillian Murphy, Eileen Walsh, Emily Watson | 30 avril 2025 en salle | 1h 38min |Titre original Small Things Like These Drame

Synopsis
Tout public
Irlande, 1985. Modeste entrepreneur dans la vente de charbon, Bill Furlong tache de maintenir à flot son entreprise, et de subvenir aux besoins de sa famille. Un jour, lors d’une livraison au couvent de la ville, il fait une découverte qui le bouleverse. Ce secret longtemps dissimulé va le confronter à son passé et au silence complice d’une communauté vivant dans la peur.
La presse en parle :
L’Humanité par Eléonore Houée
Durant deux siècles, des milliers de femmes ont subi des abus dans les couvents de la Madeleine, en Irlande. Le réalisateur belge Tim Mielants signe un film majeur et terrassant sur ce traumatisme, avec Cillian Murphy, tout en sensibilité et mutisme dans le rôle principal.

CinemaTeaser par Aurélien Allin
La précision de l’écriture et de la mise en scène sert une prestation splendide de Cillian Murphy.

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Les mots comme résistance à l’oppression et comme rempart contre la mort.

A Madiana : "La voleuse de livres"

 la_voleuse_de_livresPeu de films relatent la seconde guerre mondiale guerre du point de vue de la population allemande, voûtée sous les bombardements, toute à la fois soumise au régime nazi et soutien du pouvoir hitlérien. « La voleuse de livres », le film du Britannique Brian Percival adapté du roman best-seller de l’Australien Markus Zusak est donc une exception. Et ce à plus d’un titre.

 Allemagne donc, 1939. Un train, une femme, deux enfants, une fille d’une douzaine d’année, un garçon de quatre cinq ans, tout trois hantés par la faim. Le garçon ne survit pas, il meurt dans les bras de sa mère. Celle-ci, communiste, est contrainte de laisser sa fille Liesel chez les Hubermann, une famille d’adoption composée de Hans le mari, un père au cœur d’accordéon et Rosa, une mère au cœur colérique. Si le premier intérêt de la famille adoptive est la pension versée par l’État, très vite l’attachement va prendre le dessus. A douze ans Liesel ne sait ni lire ni écrire.

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