— Par Jean-Marie-Nol —
Chômage, pauvreté, décrochage scolaire, illettrisme , addictions, perte de confiance en l’avenir : la situation de certains 16-30 ans interpelle en Guadeloupe comme en Martinique . Mais dans un autre registre, voilà que les autres jeunes 16/30 ans plus diplômés, une generation dorée, mais qui semble avoir aussi perdu foi en l’avenir. Demain, dans leur globalité, les jeunes Guadeloupéens et Martiniquais seront confrontés à une inquiétude croissante face à leur avenir. Chômage, précarité, violence , crises économiques et financières, changement climatique, perte de confiance dans l’ascenseur social , tout semble converger vers un pessimisme grandissant au sein de la jeunesse. Cette situation n’est pas propre à la Guadeloupe et à la Martinique , mais elle y prend une dimension particulière du fait de leurs spécificités économiques et sociales.
Les chiffres et les études récentes montrent que la jeunesse française dans son ensemble se sent désabusée. Elle est la plus pessimiste d’Europe, marquée par un repli sur elle-même et une méfiance vis-à-vis des institutions et des autres générations. En Guadeloupe et en Martinique , ce malaise est exacerbé par un marché de l’emploi peu accueillant pour les jeunes, des politiques publiques jugées inefficaces et une éducation qui peine à remplir ses promesses d’égalité des chances.

— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
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— Par Jean-Marie Nol —
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !
— Par Jean-Marie Nol —
En 2023, l’écart salarial entre les femmes et les hommes dans le secteur privé demeure important, bien qu’il ait considérablement diminué au cours des dernières décennies. Selon
— Par Jean-Marie Nol , économiste —
Il est plus que temps de cesser de rêver à atteindre l’autosuffisance alimentaire du fait du changement climatique !
SignalConso est un service public gratuit de la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF).
— Par Jean-Marie Nol —
Subventions, un modèle à la dérive
La critique que nous formulions il y a quelques années au sujet de l’attribution par la CTM d’une subvention de 15000 € à tout jeune martiniquais (diplômé) pour venir s’installer au pays, vaut également sur le fond, pour l’attribution de terres à des jeunes dans l’agriculture.
La cercosporiose noire, ou maladie des raies noires, est l’une des maladies les plus redoutables pour les cultures de bananes, causée par le champignon Pseudocercospora fijiensis. Depuis sa détection en Martinique en 2010, cette maladie a fait des ravages dans toutes les zones de production bananière de la planète, représentant un véritable défi économique, écologique et social pour les producteurs locaux. Elle touche toutes les variétés de bananes cultivées, telles que la banane créole, les freyssinettes, les figues-pommes et le kokambou.
Pourquoi vouloir analyser uniquement le phénomène de l’exil des jeunes sur le plan politique et sociologique est une erreur ?