« Le Relais ». Conception et jeu : Patrick Morh

Jeudi 26 janvier 2017 à 20h. Chapiteau Schoelcher.

L’histoire naît d’une rencontre fortuite au milieu de la nuit dans un relais d’autoroute, près d’Yverdon, avec le serveur de la buvette.
Au moment de payer, mon regard tombe par hasard sur un petit badge vert accroché â sa chemise:
Désiré Ouedraogo.
– Vous êtes Mossi ?
– Comment le savez-vous ?
Les mémoires se réveillent et les langues se délient

Depuis sa création en octobre 2005, Le Relais a été joué plus de 100 fois en Suisse, en France, en Pologne, à Cuba, au Burkina-Faso, au Mali et au Liban. Nous avons joué aussi bien dans des théâtres institutionnels que dans des écoles ou sur des places de village.

Le Relais, c’est un voyage entre rire et émotion, dans le plaisir de l’échange et de la rencontre.

Les histoires s’enchaînent et se répondent, passant du récit intime au conte épique. Le spectacle se construit comme un jeu de poupées russes. On fait la connaissance de Roger, le gérant et de Do Kamissa, la femme-buffle ; on apprend comment devenir le mâle dominant d’une troupe de cynopithèques noirs. Grâce à leur rencontre dans ce lieu de pasage, entre veille et sommeil, ces inconnus échangent ce qu’ils ont de plus précieux. Soudain, une gifle : explosion, errance dans la forêt, la quête amoureuse commence.
Où a disparu Awa Diallo ?

*****

La presse en parle :
« Patrick Mohr parvient à captiver un public souvent hilare avec des histoires rocambolesques où se mêlent expériences personnelles et récits légendaires. » Le Courrier

« Un savoureux récit ! Les spectateurs sont ballotés au rythme d’incroyables aventures dans lesquelles la vérité est souvent plus folle que la fiction. » La Tribune de Genève

« Patrick Mohr joue et se joue. Il entre en scène comme on entre en souvenir. » Le Temps

« Chez ce nomade irréductible, l’Asie et ses contes épiques, l’Afrique et ses mythologies colorées ne sont jamais loin. Ses créations sont toujours ouvertes au monde. Quand ells ne tournent pas sur les cinq continents, elles emmènent le public dans l’univers éthéré des lucioles. Attention rien de pathétique dans ses histoires. Pour une fois, la Suisse a ici le rôle d’un relais de l’humour. »
Swiss info

« En filigrane, Le Relais lève le voile du continent africain, comme ce désir effréné des femmes noires à vouloir éclaircir leur peau. La pièce témoigne aussi des difficultés rencontrées par les déracinés, cette impossibilité de trouver leur place dans un monde qui n’est pas le leur, le rêve déçu d’un eldorado ou la pénible traversée des clandestins vers l’Europe idéalisée… » L’impartial

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Le Relais
L’histoire naît d’une rencontre fortuite au milieu de la nuit dans un relais
d’autoroute, près d’Yverdon, avec le serveur de la buvette.
Au moment de payer, mon regard tombe par hasard sur un petit badge
vert accroché à sa chemise : Désiré Ouedrago.
– Vous êtes Mossi ?
– Comment le savez-vous ?
Les mémoires se réveillent et les langues se délient.
Le Relais, c’est un voyage entre rire et émotion, dans le plaisir de
l’échange et de la rencontre.
Les histoires s’enchaînent et se répondent, passant du récit intime au
conte épique. Le spectacle se construit comme un jeu de poupées
russes. On fait la connaissance de Roger le gérant et de Do Kamissa, la
femme buffle ; on apprend comment devenir le mâle dominant d’une
troupe de cynopithèques noirs. Grâce à leur rencontre dans ce lieu de
passage, entre veille et sommeil, ces inconnus échangent ce qu’ils ont
de plus précieux. Soudain, une gifle : explosion, errance dans la forêt,
la quête amoureuse commence.
Où a disparu Awa Diallo ?
Conception et jeu /
Mise en scène /
Patrick Mohr
Yvan Rihs
Scénographie / Sylvie Kaufmann
Lumières / Michel Faure
Bande son / Aurélien Gattegno
Administration et
diffusion /
Aurélie Lagille