« Hit the road », un film de Panah Panahi

Dimanche 19 juin à 19h30 / Madiana

/ 1h 33min / Drame

Par Panah Panahi
Avec Hassan Madjooni, Pantea Panahiha, Rayan Sarlak
Titre original Jaddeh Khaki

Synopsis : Iran, de nos jours. Une famille est en route vers une destination secrète. A l’arrière de la voiture, le père arbore un plâtre, mais s’est-il vraiment cassé la jambe ? La mère rit de tout mais ne se retient-elle pas de pleurer ? Leur petit garçon ne cesse de blaguer, de chanter et danser. Tous s’inquiètent du chien malade. Seul le grand frère reste silencieux.

La presse en parle :
Elle par Françoise Delbecq
Cet exode placé sous le signe de l’amour et de la tendresse est une splendeur.

Femme Actuelle par La Rédaction
Quelle bonne surprise que ce road movie iranien, qui nous téléporte dans la voiture d’une famille en voyage avec le petit garçon espiègle, le grand frère inquiet, la mère émue, le chien malade… Leur destination ? Il faut la faire avec eux, découvrir ce chemin de tendresse et d’humour (…).

Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpeche
Visuellement éblouissant, filmé dans des paysages grandioses, ce road-movie réjouit bouleverse par l’intelligence et l’originalité avec lesquelles il traite le sujet douloureux de l’exil.

Positif par Louise Dumas
Panah Panahi a certes hérité de ses mentors un sens aigu de la composition du cadre, une expertise dans l’euphémisme et le non-dit, et une maîtrise absolue de la direction d’acteurs (notamment d’enfants). Mais le ton burlesque, le dialogue pétaradant, l’intrusion d’un onirisme débridé et le goût pour les intermèdes musicaux font preuve d’une liberté de création rafraîchissante […].

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Hymne à la famille, l’amour et la vie, le premier film de Panah Panahi est une merveille du cinéma iranien.

Cahiers du Cinéma par Olivia Cooper-Hadjian
En s’affirmant comme un jeu, une série de performances pour la caméra, le film suscite des sentiments flamboyants. Dans les passages musicaux, les personnages transcendent leur rôle pour mimer le chant d’un ou d’une autre et se transformer par la danse.

Critikat.com par Bastien Gens
Si le premier film de Panah Panahi gagnerait à être resserré par endroits, il est traversé par une joie manifeste qui l’empêche de tomber dans l’esbrouffe.

Culturopoing.com par Hugo Jordan
Les situations incongrues traversées par les héros et leurs réactions décalées dessinent en creux les contradictions et les absurdités d’une société exsangue, meurtrie par les non-dits et les contraintes.(…) Réussissant avec brio son premier essai, Panah Panahi rejoint ici les grands noms qui l’ont précédé et qu’il va maintenant accompagner.

L’Humanité par Michaël Mélinard
Un premier long métrage novateur, drôle et souvent brillant.

L’Obs par Nicolas Schaller
Ne ratez pas ce beau film qui dit la douleur de l’oppression par la majesté des paysages, la pudeur des sentiments et le peps d’un gosse « trop occupé à faire le clown pour être triste longtemps ».

La Croix par Céline Rouden
Découvert l’année dernière à Cannes, le premier film de Panah Panahi, fils de Jafar Panahi, est un petit bijou de tendresse et de poésie.