— Par Sarha Fauré —
Une enquête inédite menée par sept organisations — Foodwatch France, Réseau Action Climat, France Assos Santé, Fédération Française des Diabétiques, Confédération Syndicale des Familles (CSF), Union nationale des associations familiales (UNAF) et Collectif National des Associations d’Obèses (CNAO) — révèle un constat alarmant : dans les supermarchés français, seule 1 promotion sur 10 concerne des aliments sains, tandis que la majorité encourage la consommation de produits nocifs pour la santé.
Cette étude, réalisée en février et mars 2025, a passé au crible 40 catalogues promotionnels issus des cinq principales enseignes de la grande distribution — Carrefour, Coopérative U, E. Leclerc, Intermarché et Lidl — représentant 4 726 offres. Les résultats, comparés aux recommandations officielles du Programme National Nutrition Santé (PNNS 4), mettent en lumière un profond décalage entre le discours des distributeurs sur le « bien-manger » et leurs pratiques commerciales.
Un déséquilibre flagrant au détriment de la santé publique
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12 % seulement des promotions concernent des aliments « à augmenter » selon le PNNS : fruits, légumes, légumineuses, ou céréales complètes.

— Par
— Par Sabrina Solar —
— Par Sabrina Solar —
— Par Sabrina Solar —
Au-delà du chlordécone, une culture ancrée de l’empoisonnement colonial.
Il y a actuellement une campagne sur les airbags TAKATA dans l’utilisation de nos véhicules qui a attiré notre attention. Ce le thème correspond aux objets de
— Par Sabrina Solar —
Une commission d’experts sur l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans avait été mise en place en janvier 2024 par le président de la République. Dans
— Par Jean Samblé —
Les maladies cardio-neuro-vasculaires, notamment les accidents vasculaires cérébraux (AVC), les infarctus et les insuffisances cardiaques, continuent d’être une cause majeure de mortalité et d’hospitalisation à travers la France, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. Un constat particulièrement inquiétant en Martinique, où les taux de mortalité liés aux AVC restent alarmants.
Face à l’augmentation constante des infections sexuellement transmissibles en France, l’Assurance Maladie franchit une nouvelle étape dans sa stratégie de prévention. Depuis le 1er juillet 2025, le dispositif « Mon test IST », initialement lancé en septembre 2024, s’enrichit d’une nouvelle fonctionnalité permettant aux femmes de 18 à 25 ans de réaliser un dépistage à domicile.
En accord avec les syndicats de pharmaciens, l’Assurance maladie
À l’occasion de ses 40 ans d’existence, le Collège de Cardiologie de la Martinique organise les 35èmes
Cette conférence nous propose de redécouvrir une personnalité exceptionnelle, originaire de Basse-Pointe : le Dr Hippolyte Morestin (1869-1919).
Dans le cadre de la Semaine de la Santé Sexuelle, nous vous invitons à un moment unique, bienveillant et sans jugement pour parler librement de désir, de plaisir… et de tout ce qui touche à une sexualité épanouie !
L’AKAM (Association des Kinésithérapeutes de Martinique) vous convie à une soirée exceptionnelle le jeudi 5 juin 2025 à 19h au cinéma Madiana, pour la projection du court-métrage ANAÏS, un film poignant qui mêle sport, santé et résilience.
Paris, une trentaine de bénévoles de l’association UFC-Que Choisir ont tiré la sonnette d’alarme en lançant la campagne #StopAuxSubstancesNocives.
Si vous souffrez de
Paris le 14 avril 2025
Face aux méfaits bien connus du sucre, nombreux sont ceux qui se tournent vers ce qu’ils pensent être une alternative plus saine : les édulcorants. Ces additifs alimentaires au pouvoir sucrant élevé sont partout, des sodas “zéro calorie” aux yaourts allégés, en passant par les chewing-gums ou les produits destinés aux diabétiques. Mais si leur promesse semble alléchante, la réalité est bien moins sucrée qu’il n’y paraît.
Les édulcorants sont des additifs alimentaires qui donnent un goût sucré à des aliments, en remplacement des sucres naturels. Ceux qui sont appelés intenses sont présents surtout dans les boissons, notamment les sodas. Ils sont proposés dans l’aide à la perte de poids et le contrôle du taux de sucre chez les diabétiques.
En 2024, le taux de mortalité infantile en France s’élève à 4,1 décès pour 1 000 naissances vivantes, soit environ 2 700 enfants morts avant leur premier anniversaire. Cela signifie qu’en moyenne, un enfant sur 250 décède au cours de sa première année de vie. Un quart de ces décès survient le jour même de la naissance, la moitié entre 1 et 27 jours, et le dernier quart entre 28 jours et un an (période post-néonatale).