À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme ce 2 avril 2019, découvrez comment les autistes perçoivent le monde extérieur dans une vidéo immersive saisissante, réalisée par une association britannique.
Une mère et son petit garçon se promènent main dans la main dans un centre commercial quand soudain l’enfant est pris d’une crise de panique. Choqués, les passants qui croisent la mère et son enfant assistent à la scène avec mépris et agacement. Ce qu’ils ne savent pas c’est que le garçon est autiste. Assailli par un flux d’images, de bruits et de sensations que son cerveau peine à gérer, l’enfant perçoit le monde extérieur comme une agression sensorielle insupportable.
Réalisée par l’association britannique National Autistic Society, la vidéo intitulée «Can you make it to the end ?» (traduction : irez-vous jusqu’au bout ?) place le spectateur dans le cerveau de l’enfant, afin de lui montrer comment les autistes appréhendent le monde extérieur. Oppressante et angoissante, cette vidéo immersive montre à quel point la souffrance est réelle et ingérable. Très efficace, cette campagne de sensibilisation s’accompagne d’une série de conseils destinée à dédramatiser ce type de situation.

— Propos d’Isabelle Barbéris : recueillis par Lucas Bretonnier —
Un collectif a pris l’initiative de réunir des usagers de Schœlcher et de l’agglomération centre afin d’être entendu par l’autorité organisatrice du transport en Martinique.
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).
Publication avec l’aimable autorisation d’Olivier, auteur auteur de bande dessinée.
Isabelle Barbéris vient de publier
C’est la question qu’on peut légitimement se poser à voir l’évolution du conflit à la société de transport SOTRAVOM.
Sous la direction d’Obrillant DAMUS et Nicolas VONARX. 2019. Éditions Academia, Louvain-La-Neuve.
|…] A la lecture de cet article de quatre pages, on apprend que les marques d’électronique affichent, sauf rares exceptions, des scores de fiabilité « moyens », « bons » ou « très bons ». Sur la trentaine de marques évaluées, deux seulement ont reçu une évaluation « médiocre » sur une famille de produits. Aucune n’a été jugée « mauvaise », le niveau le plus bas de fiabilité.

Par arrêté du Premier ministre, du ministre de la culture et de la ministre des outre-mer en date du 28 février 2019, M. Christophe POMEZ, inspecteur et conseiller de la création, des enseignements artistiques et de l’action culturelle, est nommé directeur des affaires culturelles de la Martinique à compter du 1er mars 2019 (JO du 1er mars 2019). Il succède à Monsieur Fabrice MORIO qui a pris les fonctions de directeur régional des affaires culturelles de la région Centre-Val de Loire au 1er septembre 2018.
Depuis le 1er mars 2019, la formation à l’obtention de la catégorie AM du permis de conduire dès l’âge de 14 ans des cyclomoteurs (50 cm3 maximum), des voiturettes et des petits quads dont la vitesse ne dépasse pas 45 km/h a été renforcée comme le rappelle la Sécurité routière.
Collection Le Débat, Gallimard
Blocte
— Par Stéphane Mandard —
Présenté comme une réponse aux exigences et revendications du mouvement de colère des Gilets jaunes, le « Grand débat » organisé par la Macronie montre en réalité ce qu’il est : une opération en trompe-l’œil, de diversion et de communication, où Macron se met en scène en ignorant les vraies questions posées, pour n’aborder et répondre qu’aux sujets qu’il entend faire valoir.

C’est avec des mots tranchants que Greta Thunberg, âgée alors de 15 ans, a interpellé les dirigeants du monde entier, en décembre dernier, lors de la COP 24. Et la parole qu’elle a portée ce jour-là, nous la partageons entièrement. De là où nous sommes au travail, de là où nous sommes en responsabilité, artistes ou à la direction d’institutions culturelles, nous faisons face aux paradoxes néfastes de la surproduction et de la surconsommation. Nous observons et vivons les effets de l’agression permanente que le système ultralibéral fait subir à la planète et à ces habitant.e.s.
— Culture Égalité —
« Lutter pour qui ? Lutter pour quoi ? Lutter comment ? » : C’est le thème proposé par « Jik An Bout » pour la tenue du IIème séminaire « Savoir Pour AGIR ». Comme pour la première édition, qui s’est tenue les 24 et 25 août 2018 dans la commune des Trois-îlets*, l’objectif de ces rencontres est de permettre un débat libre et réellement participatif, autour de problématiques dont la compréhension est déterminante pour notre action dans la vie personnelle et collective.
La 7