— Par Jean-Marie Nol —
Les Antilles sont confrontées à une transformation sociétale et économique profonde qui, si elle n’est pas anticipée et gérée avec lucidité, pourrait entraîner une crise systémique durable. L’érosion de la démographie, l’affaiblissement du tissu économique local, l’exil des forces vives et la fragmentation sociale sont autant de défis qui modifient structurellement ces territoires ultramarins.La société antillaise moderne se désagrège lentement mais sûrement sous l’effet de la crise économique et de la révolution technologique, et cette mutation profonde s’observe à travers divers phénomènes , notamment l’augmentation du nombre de divorces tardifs, la baisse de la natalité et la montée du célibat. Ces tendances dessinent une réalité sociale nouvelle où les relations humaines se transforment sous l’impulsion du progrès technologique et de l’évolution des mentalités.
La désagrégation progressive de la société antillaise sous l’effet de la crise est une réalité inéluctable, dont les symptômes se manifestent à travers de multiples dynamiques économiques, sociales et démographiques. La dernière étude de l’Insee met en exergue une baisse tragique de la population en Guadeloupe et en Martinique, laissant présager une crise du vieillissement et des migrations qui viendra encore fragiliser des territoires déjà en proie à de profondes difficultés.

— Par Jean-Marie-Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
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— Par Jean-Marie Nol —
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !
— Par Jean-Marie Nol —
En 2023, l’écart salarial entre les femmes et les hommes dans le secteur privé demeure important, bien qu’il ait considérablement diminué au cours des dernières décennies. Selon
— Par Jean-Marie Nol , économiste —
Il est plus que temps de cesser de rêver à atteindre l’autosuffisance alimentaire du fait du changement climatique !
SignalConso est un service public gratuit de la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF).
— Par Jean-Marie Nol —
Subventions, un modèle à la dérive
La critique que nous formulions il y a quelques années au sujet de l’attribution par la CTM d’une subvention de 15000 € à tout jeune martiniquais (diplômé) pour venir s’installer au pays, vaut également sur le fond, pour l’attribution de terres à des jeunes dans l’agriculture.
La cercosporiose noire, ou maladie des raies noires, est l’une des maladies les plus redoutables pour les cultures de bananes, causée par le champignon Pseudocercospora fijiensis. Depuis sa détection en Martinique en 2010, cette maladie a fait des ravages dans toutes les zones de production bananière de la planète, représentant un véritable défi économique, écologique et social pour les producteurs locaux. Elle touche toutes les variétés de bananes cultivées, telles que la banane créole, les freyssinettes, les figues-pommes et le kokambou.