— Par Jean-Marie Nol —
Cette déclaration intervient dans un contexte où la Guadeloupe, est en quête de boussole dans une ère d’incertitude internationale, nationale et locale. L’annonce de Manuel Valls lors de sa récente visite en Martinique sur la « fin de l’État-providence » marque un tournant pour les territoires d’outre-mer, en particulier la Guadeloupe et la Martinique, qui reposent depuis des décennies sur un modèle économique largement soutenu par les transferts publics et surtout sociaux . En déclarant que « ce n’est pas l’État qui est responsable de la crise structurelle aux Antilles » et que les Antillais doivent désormais « se prendre en main », le ministre envoie un signal fort : l’ère de l’assistance systématique touche à sa fin. Cette déclaration intervient dans un contexte de rigueur budgétaire où le gouvernement cherche à réduire drastiquement le déficit public, notamment en annonçant aujourd’hui le gel de 9,1 milliards d’euros de crédits pour l’État et la Sécurité sociale. Une telle politique, appliquée sans distinction aux territoires ultramarins, risque cependant d’avoir des conséquences majeures sur leur stabilité économique et sociale.

Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
Sommaire
— Par Jean-Marie Nol —
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !
— Par Jean-Marie Nol —
En 2023, l’écart salarial entre les femmes et les hommes dans le secteur privé demeure important, bien qu’il ait considérablement diminué au cours des dernières décennies. Selon
— Par Jean-Marie Nol , économiste —
Il est plus que temps de cesser de rêver à atteindre l’autosuffisance alimentaire du fait du changement climatique !
SignalConso est un service public gratuit de la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF).
— Par Jean-Marie Nol —
Subventions, un modèle à la dérive
La critique que nous formulions il y a quelques années au sujet de l’attribution par la CTM d’une subvention de 15000 € à tout jeune martiniquais (diplômé) pour venir s’installer au pays, vaut également sur le fond, pour l’attribution de terres à des jeunes dans l’agriculture.
La cercosporiose noire, ou maladie des raies noires, est l’une des maladies les plus redoutables pour les cultures de bananes, causée par le champignon Pseudocercospora fijiensis. Depuis sa détection en Martinique en 2010, cette maladie a fait des ravages dans toutes les zones de production bananière de la planète, représentant un véritable défi économique, écologique et social pour les producteurs locaux. Elle touche toutes les variétés de bananes cultivées, telles que la banane créole, les freyssinettes, les figues-pommes et le kokambou.
Pourquoi vouloir analyser uniquement le phénomène de l’exil des jeunes sur le plan politique et sociologique est une erreur ?
–
— Par Jean-Marie Nol —
Le scandale des airbags Takata, qui touche des millions de véhicules à travers le monde, continue de faire des ravages en France, en particulier dans les territoires d’Outre-mer. En effet, près de 100.000 véhicules, dont une large part des modèles Citroën C3 et DS3, fabriqués entre 2009 et 2019, sont équipés de ces airbags défectueux. Ces dispositifs, qui doivent normalement protéger les conducteurs en cas d’accident, présentent un danger mortel lorsqu’ils se déclenchent. En effet, des fragments métalliques peuvent être projetés avec une violence extrême, causant des blessures graves et, dans certains cas, des décès. Depuis le début du scandale, plusieurs victimes ont perdu la vie, en grande partie dans les départements d’Outre-mer où les conditions climatiques (forte chaleur et humidité) accélèrent la dégradation des airbags.
— Par Yacine Amara.