En principe, le prix du billet n’est pas remboursable si vous ne prenez pas votre vol. Cela vaut notamment dans l’un des cas suivants :
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Vous avez raté le décollage à cause d’un retard dans les transports
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Vous n’aviez pas les bons documents de voyage (passeport par exemple) et vous n’avez pas pu embarquer
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Vous avez raté un vol en raison de retards aux contrôles de sécurité
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Vous n’avez pas respecté l’heure d’embarquement du vol.
Certaines compagnies appliquent en plus des frais appelés « no-show » (non-présentation), qui correspondent à des pénalités forfaitaires, des frais de dossier ou de réémission, voire des frais liés à la remise en vente de votre place. Ces frais viennent s’ajouter à la perte du billet.
Cependant, si votre annulation est liée à un motif légitime (par exemple, une maladie, un empêchement professionnel ou un décès dans votre famille), vous pouvez, sous certaines conditions, être indemnisé grâce à une assurance annulation. Cette assurance peut être souscrite séparément ou être incluse dans certaines cartes bancaires (Visa Premier, Mastercard Gold, par exemple).
Les conditions (par exemple avoir payé le billet avec la carte bleue), les justificatifs et les délais de déclaration dépendent du contrat.

La stratégie secrète du chaos financier de Emmanuel Macron pour redresser la France.
De la nécessité de rebattre les cartes de la pensée intellectuelle et du positionnement idéologique en Guadeloupe ?
Restauration de la sécurité et de l’autorité : La Guadeloupe et la Martinique condamnées au désenchantement et à l’impuissance face à la mutation sociétale ?
Le verdict est tombé ce jeudi 21 août 2025 à la Cour d’appel de Fort-de-France. Rodrigue Petitot, figure centrale du Rpprac (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), a été condamné à douze mois de prison ferme, aménagés en détention à domicile sous bracelet électronique. Une décision que le militant qualifie d’« injustice totale », dénonçant une volonté politique de l’écarter de la scène publique.
Le compte à rebours de la mutation de la Guadeloupe et de la Martinique prise dans un champ de forces politiques et économiques contradictoires.
— Par Sarha Fauré —
La Guadeloupe résiste bien mieux à la crise que ses voisines caribéennes .
De la question paradoxole des réparations et du principe de précaution appliqué à la réflexion sur l’autonomie ?
— Par Sarha Fauré —
Les impacts prévisibles du changement climatique sur l’économie de la Guadeloupe : alors à quoi nous attendre dans les prochaines années ?
— Par 
La mutation sociétale de la Guadeloupe est en marche avec les enjeux économiques de l’intelligence artificielle et de la robotisation.
D’ici 2030 , l’autonomie à l’épreuve du grand dessèchement monétaire et de la rigueur budgétaire.
— Par Jean-MArie Nol —
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?
— Par Jean-Marie Nol —
La flambée des violences en Guadeloupe est l’indice d’un affaissement de l’autorité et non plus d’une fracturation sociale .
—Par Jean Samblé, à partir des analyses de Lilia Burunciuc, Directrice régionale de la Banque mondiale pour la Caraïbe —
Les dessous inavouables de la recolonisation de l’Afrique et les raisons du départ accéléré des banques françaises du continent Africain !
L’impact redoutable des mesures d’économies du gouvernement Beyrou sur la Guadeloupe et la Martinique !
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Marie Nol, président du cercle des économistes de la Guadeloupe —
— Par Jean Samblé —