Vous êtes propriétaire ou usufruitier d’un appartement ou d’une maison ? Vous devez payer au plus tard le 20 octobre 2025 la taxe foncière sur les propriétés bâties, même si le logement est loué à un locataire. Si vous constatez une erreur, vous avez jusqu’au 31 décembre 2026 pour déposer une réclamation auprès de l’administration fiscale.
Votre avis de taxe foncière est disponible en ligne depuis le 28 août 2025 si vous n’êtes pas mensualisé, et depuis le 20 septembre si vous êtes mensualisé. Vous pouvez le consulter au sein de votre espace particulier sur impots.gouv.fr, dans les rubriques « mes événements » et « documents ».
La date limite de paiement est fixée au 20 octobre 2025 à minuit si vous choisissez le paiement en ligne.
Pour les montants inférieurs ou égaux à 300 €, vous avez jusqu’au 15 octobre à minuit.
Attention
Les montants supérieurs à 300 € doivent être payés par prélèvement mensuel ou à l’échéance ou par paiement direct en ligne sur le site des impôts.

— Par Jean-Marie Nol —
Depuis quelque temps, l’Eau ne sort plus des robinets du consommateur, ce qui présente un grand risque sanitaire, économique et environnemental. (Décidément ce précieux produit nous donne le tournis et risque de nous noyer tous).
— Par Jean-Marie Nol —
L’avenir de la société antillaise ne se dessine pas dans un futur lointain: il est déjà là en creux dans la trajectoire budgétaire de la France hexagonale qui fait face à des mutations et des problématiques quasi insolubles à régler dans l’immédiat.
Tribune |
Annulation d’un vol, retard important, refus d’embarquement. Pour toutes ces situations, la procédure pour régler un contentieux lié à une indemnisation évolue. Un décret du 5 août 2025 définit de nouvelles règles portant sur la médiation et les recours collectifs. Voici ce qui va changer pour les passagers concernés.
— Par Jean-Marie Nol —
Après le » bloquons tout » de la rue, voilà la nouvelle probabilité du »lâchons tout » de la classe politique.
La France traverse actuellement une période de crise que ne saurait régler le nouveau premier ministre Sébastien lecornu sans des réformes structurelles profondes. Alors attention aux non dits de la politique française qui menacent directement l’équilibre économique et social de la Guadeloupe et surtout de la Martinique et de la Guyane très engagée dans un processus de changement statutaire . La chute du gouvernement de François Bayrou, emporté par un vote de confiance perdu, a brutalement rappelé à quel point la question du financement du modèle social français est désormais au cœur des fragilités politiques du pays. En réalité, ce revers politique dépasse la seule trajectoire d’un Premier ministre : il symbolise l’incapacité récurrente des gouvernements successifs à affronter de front le problème de la dette publique et à poser la question taboue de la réforme de l’État providence . La crise politique et institutionnelle actuelle a mis en pleine lumière une vérité que la classe politique française n’ose pas affronter : le modèle social, tel qu’il fonctionne aujourd’hui, n’est plus finançable. Derrière la récente nomination d’un nouveau premier ministre se dessine une impasse structurelle qui dépasse les aléas partisans.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
J’ai dénoncé dès le début dans plusieurs articles la mystification qui consistait à fabriquer une crise sociale et un nouveau prophète venu d’on ne sait où pour la juguler.
En septembre, plusieurs nouveautés entrent en vigueur dans votre quotidien : aides financières, santé, impôts, retraite, engagement citoyen…
— Par Jean-Marie Nol —
Le silence de nos élu.e.s en dit long.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Samblé —
En principe,
La stratégie secrète du chaos financier de Emmanuel Macron pour redresser la France.
De la nécessité de rebattre les cartes de la pensée intellectuelle et du positionnement idéologique en Guadeloupe ?
Restauration de la sécurité et de l’autorité : La Guadeloupe et la Martinique condamnées au désenchantement et à l’impuissance face à la mutation sociétale ?
Le verdict est tombé ce jeudi 21 août 2025 à la Cour d’appel de Fort-de-France. Rodrigue Petitot, figure centrale du Rpprac (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), a été condamné à douze mois de prison ferme, aménagés en détention à domicile sous bracelet électronique. Une décision que le militant qualifie d’« injustice totale », dénonçant une volonté politique de l’écarter de la scène publique.