« Crisis Management of Chronic Pollution: Contaminated Soil and Human Health,CRC-Press 2016 »
Magalie LESUEUR JANNOYER, Philippe CATTAN, Thierry WOIGNIER, Florence CLOSTRE
Cet ouvrage recense les travaux réalisés par les équipes d’experts qui se sont impliquées depuis plus d’une dizaine d’années sur la question de la gestion de la pollution des sols par la chlordécone aux Antilles.
En 1999, les Antillais découvrent par le biais d’analyses de captage d’eau potable réalisées par l’ARS qu’ils ont consommé de l’eau polluée par la chlordécone, un pesticide organochloré utilisé dans les bananeraies une dizaine d’année auparavant. Ces résultats ont marqué le début d’une crise environnementale majeure aux Antilles françaises qui a abouti à des impacts sanitaires, sociaux, économiques et agronomiques majeurs. Cet ouvrage retrace comment une réponse collective a émergé avec la caractérisation de la pollution, le développement de nouvelles connaissances sur ce polluant et ses effets sur la santé et l’environnement, et l’organisation de la gestion de la pollution. Enfin, il met en perspective notre capacité à gérer de futurs problèmes environnementaux générés par les activités anthropiques.
Cet ouvrage est destiné à appuyer les étudiants, les chercheurs et les décideurs confrontés à l’évaluation et à la gestion de situations de pollution chronique persistante similaires.

La »fastueuse » période électorale étant terminée, nous reprenons notre action citoyenne consistant à informer notre population.
Depuis plus de vingt ans, le Pr SULTAN (1) travaille sur les conséquences des perturbateurs endocriniens sur l’Homme et, comme bon nombre de chercheurs, il a toujours accompagné PUMA dans sa démarche de protection écologique de notre environnement. Tous ces chercheurs ont pu mettre en évidence les différentes molécules très dangereuses pour la population et son milieu naturel. Grâce à ces informations, nous avons accompagné des professionnels de l’agriculture qui ont pris conscience de ce péril ; ce qui leur a permis de procéder au retrait des différents produits dangereux, singulièrement dans la production de le banane.
Après le retrait américain de l’Accord de Paris, un collectif de chercheurs, dans une tribune au « Monde », explique que la lutte de l’humanité contre le dérèglement climatique dépend désormais aujourd’hui du volontarisme européen.

L’écologie reste avant tout une incontournable organisation de la société, nous ne pouvons que regretter toute l’énergie qui est mise en œuvre par certains pour tenter de refuser le principe de réalité. C’est pourquoi nous devrons être de plus en plus vigilants, car certains perturbateurs tentent déjà de récupérer ce travail pour le bénéfice de leur idéologie.
Dans l’économie circulaire, il y a une matière première que nous négligeons durablement. Le modèle économique linéaire « extraire-fabriquer-jeter » utilisé essentiellement à ce jour, montre ses limites. Le concept d’économie circulaire est utilisé dans le langage régulièrement par certains, lors de leurs très nombreuses interventions publiques.
Messieurs les Présidents,
Depuis quelques temps déjà, il y a débat dans les foyers, dans l’espace public, dans nos bureaux, à propos de la difficulté de circulation des automobilistes dans notre île. Cette triste réalité nous pousse à nous interroger : la réflexion de certains de nos décideurs est-elle pauvre à tel point qu’elle ne permet pas la fluidité des déplacements quotidiens du citoyen martiniquais ?
Les risques naturels majeurs ont toujours défrayé la chronique : inondations, ouragans, séismes, tsunamis, éruptions volcaniques…sont autant d’aléas qui ont modelé les paysages, perturbé ou ralenti l’essor des sociétés humaines, et surtout endeuillé les populations.

Pour un collectif de sociologues et d’économistes, à Marrakech, les acteurs de l’accord sur le climat sacrifient de nouveau au mythe d’un consensus dont l’élection de Donald Trump révèle la fragilité.
La campagne, d’envergure internationale diffusée en 5 langues, a pour objectif de rendre justice aux peuples autochtones détenteurs de savoirs ancestraux en encourageant les entreprises biopirates à entrer en négociation avec ces peuples.
D’échec en échec, nous sommes parvenus à atteindre le sommet de l’inacceptable, avec en prime, un grave risque sanitaire, une pollution exponentielle et une importante production de dioxine lors des feux de décharge et des dysfonctionnements de notre incinérateur.
On trouvera c-après le texte de Stéphane Arnoux, GRAC Energie de Nou-Pep-La et la réponse de Nicolas de Fontenay, directeur des Exploitations aux Antilles – Albioma.
VIDÉO. Depuis que Matthew s’est abattu sur Haïti, les habitants comptent leurs morts et font face à une nouvelle catastrophe humanitaire.

Qu’attend-on pour soulager les usagers du Nord-Caraïbe, et faciliter le développement économique de cette côte ?