L’événement artistique « Arts in Transit : From Pointe-à-Pitre to… Dakar » s’apprête à prendre son envol vers de nouveaux horizons. Du 3 au 7 décembre 2025, la ville de Dakar, vibrante capitale sénégalaise, accueillera cette exposition itinérante qui célèbre l’art, la culture et l’héritage guadeloupéen à l’échelle mondiale.
Le projet, initié par Jérôme de Massias de Bonne, neurologue et créateur engagé, incarne une vision ambitieuse de réinventer et de diffuser le récit guadeloupéen à travers l’art contemporain. En tant qu’extension de sa marque DMDB, une plateforme culturelle alliant mode, identité et engagement social, « Arts in Transit » s’impose comme un espace de rencontre entre créateurs, territoires et mémoires partagées.
Un Voyage Artistique Inédit
Ce voyage artistique débute en Guadeloupe, une île riche de diversité culturelle et historique, pour ensuite s’étendre à Genève, Londres et désormais Dakar. La sélection de Dakar, capitale africaine à la croisée des cultures, marque un tournant dans ce périple créatif, ancrant le projet dans un dialogue puissant entre la Caraïbe et l’Afrique.
Cette étape s’inscrit dans le cadre de « Partcours », l’un des plus grands événements d’art contemporain d’Afrique de l’Ouest.

Un tatouage se traduit par une substance ou une préparation colorante destinée, par effraction cutanée, à créer une marque sur les parties superficielles du corps humain. Cette pratique est réglementée pour éviter les risques sur la santé. Il est conseillé d’en discuter avant avec le professionnel et votre médecin traitant. Si vous êtes mineur, l’accord du parent ou tuteur est nécessaire. Le tatoueur doit être formé, déclarer son activité à l’ARS et informer son client des risques. Vous pouvez signaler tout effet indésirable grave ou non.
Le 3 décembre 2025, la cour d’appel de Tizi-Ouzou (Algérie) examinera le dossier de Christophe Gleizes, journaliste français spécialisé dans le football, condamné en première instance à sept ans de prison ferme. Les faits qui lui sont notamment reprochés : avoir été en contact avec un dirigeant de la Jeunesse sportive de Kabylie dans le cadre de son travail pour les magazines So Foot et Society. Un acte journalistique qualifié d’ « apologie du terrorisme » par les autorités algériennes. Christophe Gleizes est journaliste. Cela suffit. Lorsqu’un journaliste est emprisonné pour avoir exercé son métier, qu’il travaille pour la presse quotidienne, un magazine, un média en ligne, nous devons tous nous mobiliser.
—RS n° 422 lundi 24 novembre 2025 —