Du 12 au 16 novembre au Lycée Victor Schœlcher
Le colloque international « Le caractère multidimensionnel de la poésie d’Aimé Césaire » à l’occasion du 110e anniversaire de la naissance de l’écrivain
Du 12 au 16 novembre 2024, le Centre Césairien d’Études et de Recherches (CCER) organisera un colloque international au lycée Victor Schœlcher, à Fort-de-France, en Martinique, pour célébrer le 110e anniversaire de la naissance d’Aimé Césaire. Ce colloque, placé sous le patronage de l’UNESCO, réunit des chercheurs et des experts du monde entier pour explorer l’œuvre poétique de l’écrivain martiniquais, notamment sa richesse et sa dimension plurielle.
Intitulé « Le caractère multidimensionnel de la poésie d’Aimé Césaire », l’événement ambitionne d’approfondir la compréhension de cette poésie, souvent qualifiée d’hermétique, en mettant en lumière ses multiples facettes. L’objectif est de réunir chercheurs et « césairologues » venus de tous horizons, d’Allemagne à la Côte d’Ivoire, du Sénégal au Venezuela, afin d’examiner les textes et la pensée de l’écrivain sous divers angles : linguistique, culturel, politique, et esthétique.
Un événement au cœur de la Martinique, terre natale de Césaire
L’édition 2024 de ce colloque se distingue par son ancrage profond dans l’histoire et la culture martiniquaises, puisque le lycée Victor Schoelcher, où Aimé Césaire a été à la fois élève et enseignant, accueillera l’événement.

Jen 2024
Résidence d’écriture de 2 mois à Montréal avec le Jamais Lu entre mars et mai 2025
— Par Robert Berrouët-Oriol, l
Lorsqu’un ami m’a suggéré d’écrire un article sur Christophe Colomb, je me suis dit : Mais qu’ai-je à dire de lui que l’on n’ait déjà dit ? D’ailleurs, l’homme ne me touche guère. Je suis certes fasciné par ce qu’il a fait, car découvrir l’Amérique ce n’est pas rien, mais le personnage, je ne sais pourquoi, me fait penser à un clerc de notaire. Rien qui puisse faire rêver. Bien sûr, il se pourrait que j’aie tout faux; c’était peut-être un bel homme fier à l’allure de conquérant, mais rien n’y fait. Sans doute son nom qui ne passe pas, tout simplement : Colomb (colon), l’ancêtre de ces gus qui ont conquis sans remords et sans honte l’Algérie, le Congo, le Vietnam, etc., ces Cortez et autres zigues qui croient que la terre des autres leur appartient, ceux contre lesquels Césaire a écrit son inoubliable Discours sur le colonialisme. Livre ultime que je vous conseille de lire si vous ne l’avez déjà fait, car tout est dit sur cette engeance qui pense que tout lui est dû et qui, pour justifier ses forfaits, vous dira qu’elle a accompli une œuvre de bienfaisance en apportant la civilisation à des barbares (siphylisation serait plus approprié).
Parler…
Man ka sòti an sann
—Par Robert Berrouët-Oriol, l
La pêche campagnarde
—Par Gary Klang —
— Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue —
— Par Jean-Robert Léonidas —
—
Plus que jamais, Carpe Diem !

— Par Gary Klang —-
— Par Sabrina Solar —
Journée internationale du créole 2024 : la vision indocte et rachitique de l’Akademi kreyòl ayisyen mène une fois de plus à une impasse
La main fantôme
La Martinique traverse une nouvelle crise. Mais toute crise demeure une opportunité. Les perceptions sont aiguisées, et ce qui semblait secondaire, voire impossible, peut soudain devenir praticable.
— Par Sarha Fauré —