Vendredi 19 juillet à 15 heures, Case à Vent, Tropiques Atrium
Cette rencontre est destinée à porter une réflexion sur l’art contemporain et à permettre aux artistes de faire des propositions concrètes.
Le destin des artistes plasticiens en Martinique est marqué par un manque de considération criant qui menace la survie de l’art contemporain sur l’île. Depuis plus de dix ans, les artistes locaux sont marginalisés, ignorés par un pouvoir politique qui, sous couvert d’une politique culturelle, privilégie la tradition et le folklore au détriment de la création contemporaine. Cet état d’urgence culturelle pousse les plasticiens de Martinique à lancer un appel désespéré à l’ensemble de leur environnement politique, culturel et économique.
Les artistes martiniquais cherchent à partager, éduquer et vivre de leur art, une mission qu’ils considèrent essentielle pour améliorer la vie des différentes populations de leur société. Malgré leurs efforts, ils se heurtent à une indifférence persistante. La culture, selon eux, ne se résume pas à une simple glorification du passé, mais doit intégrer la modernité et la créativité contemporaine.
La confusion entre culture et folklore dans les politiques culturelles de l’île montre une incompréhension profonde du rôle vital de l’art contemporain.

Par le fracas des armes, du choc des civilisations, la conjugaison, de l’histoire et de la géographie, un peuple martiniquais s’est forgé dans le brassage des originaires de quatre continents.
Qu’il faille démanteler les gangs et mettre hors d’état de nuire leurs principaux chefs, relève d’une impérieuse nécessité. Les individus dont on parle sont ceux qui ont mené une guerre sans merci à la société haïtienne en se livrant à toutes les horreurs, en ne s’interdisant aucune atrocité pour faire plier la population civile. Qu’est-ce “négocier” avec les gangs sinon que légitimer la voie qu’ils ont choisie et récompenser le crime ? Les individus dont on parle ont bien prouvé qu’ils étaient dépourvus de conscience morale – s’ils n’étaient des hommes, ils seraient des bêtes sauvages. Ils sont nos ennemis dans cet état de guerre qu’ils nous ont imposé dans le triple but de donner libre cours à leurs penchants pervers, satisfaire leurs désirs de richesse et peser sur l’agenda politique. Il faut les extirper du corps social comme on extrait une dent cariée. Ne pas y arriver, c’est cesser d’exister. Vincere aut mori / Vaincre ou mourir, c’est à ce carrefour que le peuple haïtien se trouve aujourd’hui face à ses fils maudits.
À partir d’aujourd’hui, l’édition 2024 de offre une variété d’activités culturelles, des événements de proximité en collaboration avec les associations, ainsi que des animations pour tous les âges. Les participants pourront profiter de conférences, d’activités de bien-être et de santé, de défilés de mode, de spectacles comiques et de concerts.
— Par Robert Berrouët-Oriol,
Mille…
— Par Dominique Daeschler —
Genre :Aventure, Historique 2h 58min
« Leur temps n’est pas le mien. Ils me croient éternel. Je les vois comme des éclairs. (…) Ils défilent au rythme de leurs vies rapides. Ils vont, viennent, repartent, bougent, viennent encore (…) Savent-ils pourtant que c’est à eux que je dois d’être ancré ici depuis si longtemps ? Savent-ils qu’ils ont été mes maîtres ? Savent-ils aussi que je les comprends bien mieux qu’ils ne l’imaginent ? Peut-être est-il temps de leur parler ? »
L’UNESCO a permis l’accès gratuit en ligne à la Bibliothèque numérique mondiale (WDL), une vaste collection de documents culturels et historiques. Créée en 2009 par la Bibliothèque du Congrès des États-Unis avec le soutien de l’UNESCO et la contribution de bibliothèques, musées, archives et institutions internationales, la WDL contient des livres, manuscrits, cartes, photos, enregistrements sonores et films en plus de 100 langues, y compris des langues menacées. Les documents sont sélectionnés pour leur importance culturelle et historique et sont accompagnés de descriptions détaillées pour en contextualiser la valeur.
Depuis sa création en 2014, l’association Bik Kreasyon s’attache à valoriser l’humour antillais, en particulier guadeloupéen. Elle a également fondé le seul café-théâtre de Guadeloupe. Chaque premier mercredi du mois, la scène du Comik Kréyol Show é lé zanmi accueille aussi bien de jeunes comédiens, parfois lycéens, que des grands noms de l’humour.
— Par Sarha Fauré —
ONU commerce et développement préconise des stratégies durables et équitables pour atténuer l’impact environnemental croissant de l’économie numérique
— Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean Samblé —
Le spectacle « Habana Fénix » incarne la renaissance quotidienne, tel l’oiseau mythologique, et rend hommage à la capitale cubaine ainsi qu’à l’inoubliable historien de la ville, Eusebio Leal (1942-2020). La phrase d’Eusebio Leal, « Je l’ai vue émerger des ruines et s’élever comme un phénix, » dédiée à la directrice de la troupe de danse, a inspiré la première mondiale de cette pièce.
En 2022, le niveau de vie annuel médian(1) des personnes vivant dans un logement ordinaire en France métropolitaine s’est maintenu à 24 330 euros, restant quasiment stable par rapport à l’année précédente (-0,1%). Les écarts de niveau de vie entre les ménages les plus modestes et les plus aisés ont également peu varié, ce qui a conduit les indicateurs d’inégalités à rester proches de ceux de 2021, des niveaux parmi les plus élevés observés depuis 1996.
— Par Hélène Lemoine —
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— Par Jean-Marie Nol, économiste —
—Communiqué de presse —
— Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue —