Le Prix Littéraire Fetkann-Maryse Condé 2024, catégorie « Recherche », a été décerné aujourd’hui à Bruno Maillard pour son ouvrage La vie des esclaves en prison. La Réunion, 1767-1848. Cette distinction, remise au Café de Flore à Paris, honore un travail de recherche rigoureux, soutenu par un jury composé d’éminents historiens. Le lauréat exprime sa grande joie, d’autant plus que sa sélection s’est faite parmi des ouvrages d’une qualité scientifique remarquable.
Le Prix Fetkann-Maryse Condé, dont le nom évoque la « fête de la canne », symbolise la mémoire de l’esclavage et du combat pour la liberté. Il est un vecteur important pour la reconnaissance des tragédies de l’histoire, et vise à renforcer la cohésion sociale à travers une meilleure connaissance des événements qui ont marqué les communautés issues de l’esclavage.
Dans La vie des esclaves en prison, Bruno Maillard livre une analyse inédite du système carcéral à La Réunion, en se concentrant sur la période 1767-1848. S’appuyant sur des archives inédites, l’auteur dévoile les conditions de vie des esclaves dans les prisons coloniales, un aspect souvent négligé de l’histoire de l’esclavage.

À l’heure où les préoccupations environnementales occupent une place croissante dans notre quotidien, de nombreuses personnes cherchent des moyens concrets pour réduire leur empreinte écologique. Or, la végétalisation de l’alimentation est
— Par Jean-Marie Nol —
Organisé par l’association D’un Livre à l’Autre, le Salon du Livre Jeunesse Afro-Caribéen vous invite pour sa 10e édition sous le thème « L’enfance », un rendez-vous incontournable pour petits et grands. Durant tout un week-end, plongez dans un univers littéraire riche et varié, célébrant la créativité et la diversité de la culture afro-caribéenne au Lycée Auffray de Clichy.
— Le n° 372 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Le président du Conseil exécutif a adressé le 25 novembre 2024 une lettre officielle au préfet de la Martinique pour réagir aux propos de Jean-Christophe Bouvier. Lors d’une émission diffusée sur Martinique La 1ère le 20 novembre 2024, ce dernier a remis en question l’existence de projets structurants menés par les élus martiniquais, affirmant que les Martiniquais n’avaient jamais su travailler ensemble pour élaborer un projet d’avenir.
Kélia Paulin
L’immense physicien que fut Albert Einstein aimait à dire : – je ne connais que deux choses infinies : l’univers et la bêtise humaine… et il rajoutait : – encore que pour l’univers je ne suis pas certain.
— Par Hélène Lemoine —

Dans le cadre de la campagne internationale de sensibilisation aux violences faites aux femmes, qui a débuté le 25 novembre, les clubs Soroptimist de l’île se sont associés au cinéma Madiana pour offrir une projection spéciale du film Julie se tait de Leonardo Van Dijl, le mardi 26 novembre à 18h, salle 5 de Madiana. Cette projection s’inscrit dans un effort collectif pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, en particulier dans des milieux parfois insoupçonnés, comme celui du sport.
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— Par Jean-Marie Nol —
Le théâtre a toujours été un lieu où la réalité se mêle à l’imaginaire, où les illusions prennent forme pour interroger notre compréhension du monde. Mais quand ces illusions se transforment en contre-vérités, que reste-t-il de notre capacité à penser ? Cette question, fondamentale pour l’art et le théâtre, est soulevée par Jacques Mougenot dans
L’île des ombres / L’île du conflit
— Par Jean-Marie Nol —
Le rôle des « 
Pour sa 25ᵉ édition, la Campagne pour l’Élimination des Violences faites aux Femmes en Martinique (CEViFeM) se déroule du 23 au 30 novembre 2024. Sous le thème « Kouté pou tann » (« Écoutez pour entendre »), cet événement rassemble associations, institutions et citoyens autour d’un programme riche alliant sensibilisation, prévention et actions collectives.
Le 25 novembre, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le monde est appelé à faire face à une réalité qui demeure trop souvent ignorée ou minimisée : la violence envers les femmes et les filles est l’une des violations des droits humains les plus répandues, et elle se manifeste sous des formes multiples et variées. En dépit des avancées en matière de droits humains, cette violence continue de faire des ravages, causant des souffrances physiques, psychologiques et émotionnelles à des millions de femmes chaque année. La violence de genre prend de nombreuses formes : violences physiques, sexuelles, psychologiques, harcèlement, exploitation, mais aussi féminicides, ces meurtres atroces d’une femme tuée par son partenaire ou un membre de sa famille.
Titak Jazz est le temps fort Jazz de cette fin d’année.
— Par Sabrina Solar —