Violence et ensauvagement de la société : les prémisses d’un régime autoritaire se profilent de façon inéluctable en France !
— Par Jean-Marie Nol —
Dans une France traversée par des vagues d’insécurité toujours plus intenses, dans une société qui semble se déliter à grande vitesse, avec une violence indicible et un développement irrépressible du narco-traffic, l’hypothèse de l’instauration d’un régime autoritaire n’est plus seulement une crainte lointaine, mais un scénario de plus en plus évoqué, parfois même souhaité, comme une réponse radicale à un chaos politique et sociétal perçu comme incontrôlable. L’actualité de la Guadeloupe offre un miroir grossissant de cette tendance. Là où la violence s’exprime avec une brutalité sans filtre, où la jeunesse bascule massivement dans la délinquance et la criminalité , où les institutions perdent pied, se lit en filigrane l’effondrement d’un modèle républicain fondé sur la médiation, la prévention et la cohésion sociale. Le cas guadeloupéen, loin d’être une singularité périphérique, apparaît désormais comme une illustration avancée de ce qui guette la France dans son ensemble.
Les chiffres sont glaçants et les faits s’enchaînent sans relâche : plus de trente homicides en Guadeloupe et vingt en Martinique depuis le début de l’année, des fusillades quasi quotidiennes, des règlements de comptes impliquant de très jeunes individus, et la présence inquiétante de dizaines de milliers d’armes à feu en circulation.

Jeudi 7 août 2025, le Conseil constitutionnel a donné son feu vert à la loi de programmation pour la refondation de Mayotte, ainsi qu’à la loi organique relative à son organisation institutionnelle. Saisi mi-juillet par des parlementaires de gauche, opposés notamment à certaines dispositions du volet migratoire, le Conseil a jugé les textes globalement conformes à la Constitution, malgré quelques réserves d’interprétation.
La signature de l’accord de Bougival par le responsable de la délégation kanak, l’État français, les Caldoches auto-désigné·e·s
Chapitre XVII
La mutation sociétale de la Guadeloupe est en marche avec les enjeux économiques de l’intelligence artificielle et de la robotisation.
— Par Sabrina Solar —
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— Par Robert Berrouët-Oriol —
Dans la nuit du 4 août 1789, un bouleversement sans précédent ébranle les fondements de la société française. En une séance mémorable de l’Assemblée nationale constituante, les députés proclament la fin des privilèges féodaux, mettant ainsi un terme à un ordre social millénaire fondé sur l’inégalité des droits. Ce moment historique, survenu dans une atmosphère de ferveur révolutionnaire et d’urgence nationale, s’impose comme l’un des actes fondateurs de la Révolution française.
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Voici la quatrième partie et fin d’un article en quatre parties. C’est une tentative de compréhension et un appel à faire évoluer le rapport de force actuel.
À l’heure où les outils numériques prennent une place croissante dans le quotidien des jeunes, l’école se doit d’accompagner ce mouvement avec discernement. Si le numérique peut représenter un levier efficace pour les apprentissages et le développement de compétences, il comporte également des risques réels en cas d’usage excessif ou inadapté. Santé mentale, concentration, relations sociales ou encore exposition à des contenus inappropriés : les dérives sont nombreuses, notamment chez les plus jeunes.
— Par Sabrina Solar —
D’ici 2030 , l’autonomie à l’épreuve du grand dessèchement monétaire et de la rigueur budgétaire.
L’État renouvelle son engagement en faveur de l’égalité des chances
Lè lavi-mwen…
— Par Jean-MArie Nol —
Textes en Paroles lance un nouvel appel à écritures théâtrales pour des textes spécifiquement destinés à la jeunesse
Au-delà du chlordécone, une culture ancrée de l’empoisonnement colonial.
Il y a actuellement une campagne sur les airbags TAKATA dans l’utilisation de nos véhicules qui a attiré notre attention. Ce le thème correspond aux objets de
Le besoin de rivalité tient en général de la trivialité d’une sensibilité d’asthénie existentielle, de banalité de soi qui pousse aux conflits de personnalité comme pour se signifier à soi-même. La rivalité ne naît que lorsque deux individus mutuellement banals, réciproquement insignifiants se cherchent une différence non dans l’intrinsèque mais par la vanité de critères qualitatifs plats sans importance. Dans le cas contraire, il y aura agressivité, haine de la part du taré en mal de conflits mais pas de rivalité, même en cas d’agression infligée à celui qu’il prend pour cible, qui, néanmoins devra se défendre si nécessaire…
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?