Vendredi 13 juin – 19h | Mardi 17 juin – 14h | Jeudi 19 juin – 19h | Dimanche 22 juin – 11h | Madiana | ★★★★★ |
Thriller Avec SUL Kyung-gu, JANG Dong-gun, KIM Hee-ae, Claudia KIM |2025 | 1h49
Synopsis :
Un avocat accepte de prendre comme client le fils d’un patron de grande firme, qui vient de foncer dans un gars qui était sorti de sa voiture pour lui reprocher sa conduite dangereuse. Un chirurgien s’occupe de la fille de la victime, hospitalisée dans un état critique. Tous deux sont frères, le premier, juste cinquante ans, veuf, remarié à une femme plus jeune, avec une fille adolescente attendant les résultats d’un concours d’entrée dans une grande école, le second marié, avec un fils adolescent harcelé à son lycée. Quand les deux familles se retrouvent dans un restaurant huppé de Séoul et qu’il est question de placer la grand mère qui perd la boule, habitant pour l’instant chez le chirurgien, les questions de morale et d’argent reviennent sur le tapis, gâchant un peu l’ambiance…
Lire sur Madinin’Art la critique de Sabrina Solar
La presse en parle :
Madinin’Art par Sabrina Solar
[…] un film sur l’impossibilité de maintenir des repères dans un monde où tout peut être acheté, où le sens de l’humanité et de la justice s’érode au contact d’une réalité implacable. Un film qui, par sa construction habile et sa mise en scène raffinée, pousse le spectateur à s’interroger sur les limites de la bienveillance et de la culpabilité dans un monde où l’amour et la violence s’entrelacent de manière inextricable
Abus de Ciné par Olivier Bachelard
« A Normal Family », avec son scénario parfaitement calibré, aligne les retournements de comportements, joue sobrement avec la puissance de la vidéo surveillance, des médias et des réseaux-sociaux, concoctant un véritable suspense autour de questions de droiture.
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Comme le fait la série ADOLESCENCE avec beaucoup de réalisme, A NORMAL FAMILY passe par un peu plus de lyrisme pour décortiquer ce regard terrifié avec lequel les adultes regardent aujourd’hui les enfants et par ricochet, eux-mêmes.
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Un thriller psychologique éprouvant pour les nerfs, critique féroce de la bonne société, vision dévastatrice de la famille et de l’adolescence comme âge de la terreur.
Ecran Large par Mathieu Jaborska
Un thriller familial super efficace, évoquant avec une certaine virtuosité (et beaucoup de repas) le point de jonction entre la violence symbolique… et la violence bien réelle.
Franceinfo Culture par Laurence Houot
Servie par une mise en scène extrêmement efficace et un très beau casting, cette chronique familiale et sociale en forme de thriller est une vraie réussite, qui nous interroge sur le monde tel qu’il s’en va.
L’Humanité par Michaël Mélinard
D’ordinaire plutôt porté vers le mélodrame, Hur Jin-ho s’essaie avec bonheur au thriller psychologique avec A Normal Family.
La Tribune Dimanche par Aurélien Cabrol
Le film séduit par sa description sans concession d’une jeunesse cynique qui se croit au dessus de tout. Et maltraite avec bonheur l’image de la famille idéale.
La Voix du Nord par Christophe Caron
À la fois thriller et mélodrame familial, A Normal Family ne se contente pas d’étriller la notion de famille en tant que refuge immémorial, il décrit combien enfants et parents peuvent complètement étrangers les uns aux autres. Glaçant.
Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
A Normal Family fait écho à la série Adolescence de Philippe Barantini et Stephen Graham, où la violence juvénile agit comme un miroir impitoyable de la société.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Un thriller coréen glaçant, d’une subtilité rare.
Le Parisien par atherine Balle
« A normal family » est un thriller sans temps mort, servi par une mise en scène très élégante et un ton à la fois drôle et grinçant.
Les Echos par Olivier De Bruyn
Le cinéaste coréen Hur Jin-Ho signe un film noir sarcastique sur deux frères confrontés à un crime dans lequel sont impliqués leurs enfants. Glaçant.
Les Fiches du Cinéma par Florent Boutet
Hur Jin-ho réalise un film d’une grande habileté, grâce notamment à un scénario malin. Et livre ainsi une évocation noire et surprenante de deux générations coréennes.
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