« Yuli » de Icíar Bollaín

Mardi 30 juillet 2019 à 19h 30 Madiana V.O.

Avec Carlos Acosta, Santiago Alfonso, Kevyin Martínez plus
Genre Biopic

Synopsis :
Le destin de Carlos Acosta, une légende dans le monde de la danse et le premier danseur noir à avoir interprété certains des rôles les plus célèbres du ballet. L’histoire du danseur qui ne voulait pas danser.

Carlos Acosta joue son propre rôle adulte. Le scénario, écrit par Paul Laverty, scénariste attitré de Ken Loach, est une adaptation de l’autobiographie du danseur.

La presse en parle :

Rolling Stone par Jessica Saval
Chronique d’une vie menée au rythme d’un socialisme tremblotant, Yuli est tout aussi ambitieux que ses séquences de danses sont grandioses. Ode au courage, ce récit presque trop beau pour être vrai devrait ravir tant les amateurs de ballet que ceux d’histoire moderne. A ne pas rater !

Elle par Françoise Delbecq
Une success story poignante d’humanité.

Femme Actuelle par La Rédaction
Touchant, juste et inspirant.

Le Figaro par Ariane Bavelier
Carlos Acosta joue son rôle dans ce film emballant qui évoque sa trajectoire, des rues de La Havane aux Ballets de Londres.

Le Parisien par La Rédaction
Pas besoin de connaître le danseur de ballet Carlos Acosta pour être passionné par ce biopic original et inspiré[…]. Cette histoire singulière est racontée à travers des scènes jouées, mais aussi de superbes séquences de danse avec Carlos Acosta dans son propre rôle. Le récit d’un amour contraint, raconté avec passion.

Le Point par Brigitte Hernandez
Un film puissant et émouvant.

Marianne par Olivier de Bruyn
Un portrait intéressant de ce danseur atypique, farouchement attaché à sa terre natale[…]. Cette modeste pépite mérite d’être découverte.

Positif par Hubert Niogret
[…] la réalisation d’Iciar Bollain est efficace, sérieuse et assez habile dans la gestion des trois périodes importantes de la vie du danseur étoile

CinemaTeaser par Aurélien Allin
Inégal mais attachant et émaillé de superbes scènes de ballet.

Culturopoing.com par Sophie Yavari
En dépit d’une mise en scène assez convenue et d’une bande-son parfois un peu larmoyante, « Yuli » échappe à la platitude du biopic par les longues séquences dansées qui viennent casser la logique chronologique et proposent une réinterprétation au présent du passé par la chorégraphie.