Le 18 novembre à 21h10 sur Culturebox
De et mise en scène
Franck le Hen
Réalisation
Greg Germain
Production
Marie-Pierre Bousquet
Benoît retrouve dans son coffre à jouets une liste de choses qu’il s’était promis de faire avant ses 40 ans. Problème : il a 40 ans demain ! Entre sa soeur coincée, sa meilleure amie alcoolique mondaine assumée et un invité surprise, il va passer une soirée d’anniversaire explosive et pleine d’ivresse au milieu de ses secrets et souvenirs d’adolescent. Juste une mise au point pour pouvoir enfin grandir ? Une comédie décomplexée, aux répliques assassines et au rythme survolté !
Bonjour ivresse a été crée en 2010 et a tenu plus de 8 ans à l’affiche, comptabilisant déjà plus de 2000 représentations !
David Ban incarne actuellement le rôle de Valentin dans la série Plus belle la vie. Il est également connu pour ses rôles dans les comédies musicales à succès Les 3 mousquetaires, Avenue Q, Grease, 1789, les amants de la Bastille, Bernadette de Lourdes…
Laurence Joseph a tenu l’affiche sur scène pendant des années avec ses différents one et son duo Domino (Trianon, Olympia, la Cigale, tournée aux Antilles…) En parallèle on la voit régulièrement à la télé dans des séries et téléfilms aux côtés de Sonia Rolland, Amel Bent, Michèle Bernier.

Prendre le petit escalier en colimaçon et s’arrêter au premier : à droite, à gauche ça bourdonne autour des téléphones, des ordinateurs, des imprimantes. On charge les photos ,consulte la presse, revoit un texte, prend des rendez vous ,s’occupe d l’intendance au sens premier ( les buffets du Toma font appel à tous les talents culinaires de la maison) et si l’on s’écroule dans le divan du petit salon ( esprit « puces » garanti) c’est encore pour prendre le temps d’expliquer, de résoudre, de rencontrer…C’est le domaine de Marie Pierre Bousquet codirectrice qui officie dans un petit bureau surchargé de paperasse rebelle en compagnie de Séverine l’administratrice : les murs cependant attestent avec consignes et planning d’une vraie conscience organisationnelle !
Chers Greg et Marie-Pierre :