Vendredi 19 septembre, Mercredi 24 septembre, Vendredi 26 septembre | à 19h à Madiana|
Par Oliver Laxe, Santiago Fillol | Avec Sergi López, Bruno Núñez Arjona, Richard Bellamy |10 septembre 2025 en salle | 1h 55min | Drame
Synopsis
Tout public avec avertissement
Au cœur des montagnes du sud du Maroc, Luis, accompagné de son fils Estéban, recherche sa fille aînée qui a disparu. Ils rallient un groupe de ravers en route vers une énième fête dans les profondeurs du désert. Ils s’enfoncent dans l’immensité brûlante d’un miroir de sable qui les confronte à leurs propres limites.
La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
C’est le meilleur film de l’année : « Sirāt » secoue comme rarement sur grand écran.
Abus de Ciné par Olivier Bachelard
Une fascinante et inoubliable onde de choc.
Bande à part par Olivier Bombarda
Un road-movie au parfum étrange et mystérieux, un geste de cinéma devenu si rare qu’il en est d’autant plus précieux.
CinemaTeaser par Perrine Quennesson
Délire spirituel qui cherche la lumière dans l’obscurité ou parabole politique sur un monde en conflit qui n’épargne rien, ni personne, SIRÂT est tout ça à la fois. Mais il est d’abord un choc.
Culturopoing.com par La Rédaction
Sirât restera, quoi qu’il advienne de nous, un moment de grâce nihiliste incomparable.
Elle par Françoise Delbecq
Ce film ensorcelant au cœur de la nature ne se regarde pas, il se vit.
Franceinfo Culture par Laurence Houot
La mise en scène alterne des plans très larges du désert, d’une beauté à couper le souffle, et réserve des moments de tension extrême. On sursaute. On s’accroche au fauteuil.
L’Humanité par Michaël Mélinard
Un cocktail détonnant, magnifique et dérangeant pour l’un des plus beaux films de l’année.
La Tribune Dimanche par Alexis Campion
C’est une fable profonde sur l’état de notre humanité que ce film hors du commun dessine. Une fable grave, dure à encaisser mais dont jaillit, en fin de course, une ode au présent tel qu’il apparait, urgent, furieusement vivant et lumineux alors que la planète brûle.
Le Parisien par Renaud Baronian
Le jeune cinéaste a en tout cas réussi un grand film, d’une originalité folle, qui laisse le spectateur à la fois ébloui et tremblant dans son fauteuil, auquel il convient de s’accrocher très fort, tant la musique et les chocs explosifs secouent corps et âme…
Les Fiches du Cinéma par Thomas Fouet
Après le prometteur Mimosas et les grands feux faits du petit bois du bien-nommé Viendra le feu, Oliver Laxe sidère avec le splendide Sirāt.
Les Inrockuptibles par Bruno Deruisseau
Si le sens de la violence ainsi infligée aux spectateur·rices est opaque et que chacun·e est invité·e à le méditer, on remarque tout de même que, bien que la mort soit omniprésente, on ne croise aucun cadavre.
Libération par Lelo Jimmy Batista
Sirât est un road-movie halluciné et fascinant jusqu’au bout du bout.