« Simón de la montaña », un film de Federico Luis

Dimanche 18 mai – 19h — Madiana
Par Federico Luis, Agustin Toscano
Avec Lorenzo Ferro, Kiara Supini, Pehuén Pedie | 23 avril 2025 en salle | 1h 38min | Drame
Synopsis :
Tout public
Simón a 21 ans et vit en Argentine. Depuis peu, il fréquente une nouvelle bande d’amis inattendue. Auprès d’eux, pour la première fois, il a le sentiment d’être lui-même. Mais son entourage s’inquiète et ne le reconnaît plus. Et si Simón voulait devenir quelqu’un d’autre ?

La presse en parle :
Bande à part par Olivier Pélisson
« Simón de la montaña » est une drôle d’aventure. La révélation fascinante d’un cinéaste qui regarde de biais la réalité du monde, et offre le portrait réjouissant d’une jeunesse revigorante.

Cahiers du Cinéma par Vincent Malausa
Le cinéaste fait à la fois un teen movie d’une splendide et vigoureuse normalité […] et un écran de mystère et d’étrangeté où vient buter le regard.

CinemaTeaser par Perrine Quennesson
Une audace qui aurait été impossible sans un casting parfait, à commencer par son Simón, joué par un Lorenzo Ferro (vu dans L’ANGE) aussi talentueux que promis à une belle carrière, et son acolyte Pehuén Pedie, au timing comique parfait.

Culturopoing.com par Pierig Leray
Théâtralisation du corps et des mots, Simón comme Federico Luis jouent avec la prétendue frontière entre folie et conscience, ce qui est vrai, ce qui est faux. Mais lorsque le jeu lui s’arrête, il y a la magistrale liberté d’être, un être dans sa plus pure indéfinition.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Un film bulle, entourant avec humilité et bienveillance des personnages protégés des regards de biais sur leur différence.

Franceinfo Culture par Mohamed Berkani
« Simon de la montaña », un film inattendu, original, porté par un acteur impressionnant de justesse.

L’Humanité par Nina Gandara
Laissant planer l’ambiguïté, le film, lauréat du Grand Prix de la critique à Cannes l’année dernière, interroge avec justesse et audace notre rapport au handicap, à la marge et à l’altérité.

L’Obs par Guillaume Loison
Simón se pose en naufragé social, trouvant dans cette sphère marginale une manière de s’ajuster harmonieusement au monde. Mais il compose aussi une sorte de Spartacus pernicieux, contre-pied absolu à l’Argentine viriliste et prédéterminée de Javier Milei.

La Tribune Dimanche par La Rédaction
Le film suit ainsi avec beaucoup d’intelligence et de sensibilité le parcours d’une personnalité complexe en formation.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Federico Luis embrasse les joies de la vie dans un récit d’apprentissage doux qui hisse haut l’amitié et l’amour, serrés dans les bras de jeunes acteurs handicapés extraordinaires.

Le Figaro par Florence Vierron
La réussite de Simon de la montaña réside dans sa capacité à nous faire douter. On ne sait dans quelle catégorie mettre Simon. Il suffit qu’il ôte son oreillette pour qu’on le classe parmi les normaux.

Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Un récit initiatique naviguant entre éducation sentimentale et drame familial, qui montre que la famille est parfois le plus cruel des enfers.

Les Inrockuptibles par Ludovic Béot
En désacralisant et décloisonnant les identités valides/non valides, le film permet d’offrir à ses personnages un espace plus inclusif et élabore une pensée généreusement subversive pour repenser notre rapport à la norme.