« Les Enfants Rouges » un film de Lotfi Achour

 Lundi 23 juin – 19h | Mardi 24 juin – 14h
Par Lotfi Achour, Natacha De Pontcharra | Avec Ali Helali, Yassine Samouni, Wided Dadebi | 7 mai 2025 en salle | 1h 40min | Drame
Synopsis :
Interdit – 12 ans avec avertissement
Alors qu’ils font paître leur troupeau dans la montagne, deux adolescents sont attaqués. Nizar, 16 ans, est tué tandis qu’Achraf, 14 ans, doit rapporter un message à sa famille.
D’après une histoire vraie.
La presse en parle :
Les Fiches du Cinéma par François Barge-Prieur
À partir d’un meurtre atroce qui a agité la Tunisie en 2015, le cinéaste Lotfi Achour parvient à composer un véritable kaléidoscope de sensations, en nous plongeant dans la psyché meurtrie d’un jeune adolescent. Un grand film, aussi terrifiant que solaire.

Bande à part par Isabelle Danel
Lofti Achour s’inspire d’une histoire vraie et raconte l’irracontable. Avec un sens inné de la beauté, qui est partout, même là où rôde le mal.

CinemaTeaser par Aurélien Allin
Là, en plongeant ses yeux dans ceux de son jeune acteur, terrassant de vérité, la caméra capte une peine insondable que les mots ne sauraient pleinement exprimer. Alors Lotfi Achour use d’images marquantes, d’une beauté poétique fulgurante, tour à tour rêveuses ou cauchemardesques.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Une tragédie déchirante.

L’Obs par Guillaume Loison
Nonobstant son caractère onirique, rarement un film n’a documenté d’aussi près les répercussions intimes provoquées par un attentat.

La Tribune Dimanche par Aurélien Cabrol
Emaillée d’échappées oniriques émouvantes quand le jeune survivant s’adresse au fantôme de son cousin, la dramaturgie nous ramène aux mythes les plus sanglants, aux traumatismes les plus insensés.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Le jeune acteur du film, Achraf le survivant, est joué par Ali Helali. Il est bouleversant. On n’est pas près d’oublier son visage, sur lequel se lisent la perte et la souffrance.

Le Figaro par Etienne Sorin
Inspiré d’un drame réel, ce beau film de Lotfi Achour évoque le traumatisme des victimes du terrorisme djihadiste, laissées-pour-compte et livrées à la barbarie.

Le Monde par J. Ma.
L’affaire tétanisa la Tunisie. De ce dernier degré de l’infamie, que peut bien faire – sinon un film d’horreur, et encore – le cinéma ? Des œuvres réalisées jusqu’à présent sur ce type d’agissements, celle de Lotfi Achour est la plus convaincante, la plus sensible, la plus belle.

Transfuge par Tewfik Hakem
Un grand film de purgation.

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Un grand film absolument bouleversant.

Cahiers du Cinéma par Jean-Marie Samocki
La brutalité de l’incarnation et la trivialité de certains détails sont constamment atténuées par des effets abstraits qui finissent par les miner de l’intérieur et reconduire un symbolisme de convention.

Libération par Didier Péron
Le cinéaste tunisien revient sur une attaque jihadiste qui a bouleversé son pays en 2015, à travers une dramaturgie ténue et un casting criant de vérité.

 

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