« Les Amandiers », un film de Valeria Bruni-Tedeschi

Par Caroline Deruas, Valeria Bruni Tedeschi
Avec Nadia Tereszkiewicz, Sofiane Bennacer, Louis Garrel
16 novembre 2022 en salle / 2h 05min / Comédie dramatique

Synopsis :
Fin des années 80, Stella, Etienne, Adèle et toute la troupe ont vingt ans. Ils passent le concours d’entrée de la célèbre école créée par Patrice Chéreau et Pierre Romans au théâtre des Amandiers de Nanterre. Lancés à pleine vitesse dans la vie, la passion, le jeu, l’amour, ensemble ils vont vivre le tournant de leur vie mais aussi leurs premières grandes tragédies.

La presse en parle :

Bande à part par Anne-Claire Cieutat
La mise en scène très agile de Valeria Bruni Tedeschi parvient à tisser le théâtre et l’existence de chacun dans un permanent va-et-vient, où le tragique et la légèreté se font la courte échelle. Que ce film est vivant !

L’Humanité par Marie-José Sirach
Ils forment une troupe épatante, se révèlent aussi engagés dans leur art que leurs personnages, traversés de part en part de tous les vertiges et de toutes les émotions qu’un tel voyage peut provoquer. Le film d’une actrice qui rend hommage à la magie du jeu, au mystère de l’art dramatique.

Les Inrockuptibles par Marilou Duponchel
Parce que Les Amandiers agit comme une machine à remonter le temps, qui se serait changée en un accélérateur de particules et nous ferait éprouver tous les sentiments, tous les états en deux heures de projection – une expérience renversante, électrisante avec picotements sous la peau.

20 Minutes par Caroline Vié
L’actrice franco-finlandaise Nadia Tereszkiewicz, dans un rôle qui rappelle la jeune Valeria Bruni Tedeschi, est la révélation du film.

Cahiers du Cinéma par Jean-Marie Samocki
Bruni Tedeschi s’éloigne ainsi de la méthode de Chéreau cinéaste, fondée sur de brusques effusions et des ruptures d’affect. Elle n’animalise pas les corps ni ne glorifie les chairs. Même lorsqu’elle évoque la peur du sida et l’addiction à la drogue, elle refuse une trop grande intensification des gestes et des cris, cherchant une forme de douceur et d’harmonie.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Avec Les Amandiers, c’est à la fois la vie d’une jeune fille, la vie de Valeria Bruni-Tedeschi, mais aussi le portrait de la jeunesse de ces années 80 qui se dessinent. Ce portrait est juste et beau.

Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Très juste dans sa réalisation et son interprétation, (notamment Nadia Tereszkiewicz en Stella), film solaire, Les Amandiers nous fait passer derrière le miroir d’une vocation, comme s’il nous confiait un secret.

L’Obs par Sophie Grassin
Valeria Bruni Tedeschi met ses tripes et celle de ses acteurs sur la table, cherche le paroxysme tout le temps et le trouve à bon escient. Elle assure aussi avec le choix de ses superbes comédiens (…).

La Croix par Céline Rouden
Un vibrant récit d’apprentissage, en même temps que le portrait très réussi de ces années 1980, pleines de bruits et de fureur.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Il y a de la tragédie et du romanesque dans ces Amandiers qui célèbrent sans doute une façon révolue d’enseigner un art de l’interprétation lointainement cousin de l’Actor’s Studio new-yorkais. Quand l’appétit de jouer équivaut à celui de vivre.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Dans une fiction autobiographique, Valeria Bruni-Tedeschi revient sur ses années de jeunesse au théâtre des Amandiers de Nanterre, dirigé par le metteur en scène Patrice Chéreau. Un portrait des années 80.

Le Figaro par Etienne Sorin
Nul besoin d’avoir foulé les planches avec Chéreau dans les années 1980, ni même d’avoir la passion du théâtre, pour être touché par ce portrait de groupe.

Le Monde par Maroussia Dubreuil
Les apprentis comédiens jouent ensemble, s’aiment aussi, se disputent, se dévorent, font l’amour… On n’entre pas aux Amandiers comme dans n’importe quelle autre école. A ne pas manquer.