Le pire est devant nous : les défis et enjeux à venir pour la Guadeloupe et la Martinique et le changement des institutions n’est qu’un leurre !

Les prévisions alarmantes de Jean-Marie Nol pour la société antillaise à venir.
— Par Chat GPT (*) —

Dans une analyse percutante, Jean-Marie Nol met en lumière les signaux d’alerte qui s’accumulent concernant l’économie de la Guadeloupe et de la Martinique . Dans ses derniers articles , il dresse un tableau sombre de la situation actuelle et des défis et enjeux à venir .

Une crise imminente aux Antilles ?

Tous les indicateurs économiques sont au rouge vif, selon Jean-Marie Nol. La croissance ralentit, le chômage augmente, la confiance des entreprises et des ménages décline, et la consommation est en berne. Cette conjonction de facteurs annonce une crise économique imminente pour la Guadeloupe et la Martinique, qui pourrait avoir des répercussions dévastatrices sur l’ensemble de la société.

Le poids de l’austérité sera lourd d’incertitude !

La politique d’austérité mise en place par le gouvernement français aggrave la situation, selon l’analyse de Jean-Marie Nol. La récession persistante en France métropolitaine entraîne une détérioration de la situation économique, ce qui se traduit par une baisse de la demande et une hausse du chômage . De plus, les mécanismes de sauvegarde financière mis en place ne sont plus suffisants pour faire face aux risques économiques croissants.

La nécessité d’une refonte du modèle économique !

Face à cette situation critique, Jean-Marie Nol souligne l’urgence d’une refonte du modèle économique de la Guadeloupe et de la Martinique.
Il met en garde contre le maintien stricto sensu du statu quo en matière économique, appelant à une stratégie de rupture pour surmonter les obstacles structurels qui entravent le développement de l’île. Selon lui, il est essentiel d’adopter des politiques innovantes et audacieuses pour faire face à la crise imminente.

Des risques psychosociaux pouvant conduire à la violence !

La Guadeloupe et la Martinique se préparent à affronter une série de défis majeurs dans les années à venir, avec des changements profonds à la fois sur le plan environnemental, économique, financier et socioculturel. Dans un monde en constante évolution, les deux îles se voient confrontées à une série de transformations qui nécessiteront une adaptation rapide et efficace pour garantir un avenir exempt de conflictualité .Cependant, ces changements ne sont pas sans leur lot de défis. En Guadeloupe, le lancement officiel de la campagne sucrière est compromis par le blocage de l’usine Gardel du fait de certains planteurs qui réclament une augmentation du prix de la tonne de canne à hauteur de 120 euros. Aujourd’hui, la filière est totalement à l’arrêt , en raison des revendications d’un collectif des agriculteurs, qui rassemble plusieurs syndicats et Société d’intérêt collectif agricole (SICA). Le prix de la tonne est aujourd’hui la source de ce blocage et la menace d’une « saison blanche » plane réellement au-dessus d’une filière déjà en souffrance depuis plusieurs années. De fait, l’inconscience et l’inconséquence sont devenus notoire en Guadeloupe. Plus dure et douloureuse sera la chute pour beaucoup de guadeloupéens .
C’est juste une question de temps ! Jean marie Nol entends par là qu’une situation à savoir une saison blanche , un événement à savoir l’arrêt prolongé de l’usine Gardel ou un résultat c’est à dire des pertes financières de l’ordre de près de 130 millions d’euros pour l’ensemble de la filière, est susceptible de se produire, mais qu’il n’est pas encore certain quand cela se produira. Cela implique souvent qu’il est inévitable ou très probable, mais que la chronologie exacte est incertaine. Wait and see !!!
En Martinique,les émeutes actuelles sous couvert de l’affaire Pinto ( appropriation de terres avec construction de lotissement)reflètent souvent un malaise socio-économique profond dans les Antilles. Les tensions socio-économiques en Martinique peuvent être exacerbées par des perceptions d’invasion ou de domination économique de la part de métropolitains et d’étrangers, tout comme en Corse. Ces préoccupations peuvent découler de la concurrence pour les ressources, de l’accès inégal aux opportunités économiques et de la préservation de l’identité culturelle et sociale locale. Cependant, chaque contexte présente ses propres nuances et spécificités, donc il est important d’analyser les causes et les dynamiques de manière distincte pour chaque région.Les principales préoccupations incluent le chômage élevé, les inégalités économiques, le coût de la vie élevé, la dépendance économique, ainsi que les questions de racisme et de discrimination à l’embauche . Ces problèmes sont souvent exacerbés par des facteurs tels que la dégradation de la cohésion sociale et les tensions historiques liées à l’esclavage et au colonialisme.
L’arrivée massive de travailleurs qualifiés de France métropolitaine ainsi que d’autres régions peut engendrer des tensions sur le marché du travail local, notamment en créant une concurrence accrue pour les emplois existants. Cette situation est exacerbée par la perception d’un favoritisme envers les nouveaux arrivants, ce qui peut entraîner des tensions sociales et ethniques.Les nouvelles technologies peuvent fragiliser les fondements de l’éducation traditionnelle, avec des risques de déclassement social pour les travailleurs guadeloupéens et Martiniquais avec une précarisation de l’emploi, notamment pour les jeunes diplômés.

Vers une transition réussie à l’aide d’un nouveau modèle économique et social ?

En somme, la Guadeloupe et la Martinique doivent s’engager dans une transition vers une économie diversifiée plus respectueuse de l’environnement, avec des initiatives visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à promouvoir les énergies renouvelables. Cette transition devra s’accompagner également d’une accélération de la numérisation de l’économie, avec une adoption croissante des technologies numériques et de l’intelligence artificielle dans divers secteurs tels que la santé, le tourisme, l’éducation, la finance et l’industrie.

Défis et enjeux liés à l’éducation et à l’intelligence artificielle !

L’évolution vers une économie numérique et l’utilisation croissante de l’intelligence artificielle posent également des défis en matière d’éducation. Les nouvelles technologies peuvent fragiliser les fondements de l’éducation traditionnelle, avec des risques de déclassement social pour les travailleurs guadeloupéens et Martiniquais avec une précarisation de l’emploi, notamment pour les jeunes diplômés. De plus, l’enseignement doit s’adapter à ces nouvelles réalités technologiques tout en préservant la capacité des élèves à élaborer une pensée structurée.

Une vision réaliste de l’avenir

En conclusion, Jean-Marie Nol exhorte les acteurs politiques et économiques de la Guadeloupe à prendre conscience de la gravité de la situation et à agir avec détermination. Il met en garde contre l’illusion d’attendre une inflexion de l’austérité en France, soulignant la nécessité d’une approche proactive pour faire face à la crise à venir. Seule une réponse courageuse et novatrice permettra à l’île de surmonter les défis économiques qui se profilent à l’horizon.
Face à ces défis, les îles des Antilles doivent naviguer avec prudence pour garantir une transition économique réussie tout en préservant leur identité culturelle. Des politiques d’intégration et de diversité efficaces, combinées à des initiatives visant à promouvoir l’innovation et la formation professionnelle, pourraient contribuer à façonner un avenir plus harmonieux pour tous les acteurs économiques et sociaux . L’avenir de la Guadeloupe et de la Martinique dépendra de leur capacité à relever ces défis avec détermination et ingéniosité, tout en restant fidèle à leurs valeurs et à leur héritage culturel.

« A pa jou pyébwa tonbé an dlo i ka pouri « 

Traduction : Ce n’est pas le jour où l’arbre tombe à l’eau qu’il pourrit.

Moralité : Les conséquences ne suivent pas immédiatement les causes.
On ne paye pas de suite les conséquences de nos actes.

Chat GPT 🐱 communiqué par Jean-Marie Nol, économiste (!)