« La Promesse verte », un film de Edouard Bergeon

À Madiana
Avec Alexandra Lamy, Félix Moati, Sofian Khammes

Synopsis :
Pour tenter de sauver son fils Martin injustement condamné à mort en Indonésie, Carole se lance dans un combat inégal contre les exploitants d’huile de palme responsables de la déforestation et contre les puissants lobbies industriels.

La presse en parle :
Ouest France par Philippe Lemoine
Un film qui réconcilie les générations autour d’un défi majeur qu’il est urgent de partager.

20 Minutes par Caroline Vié
Une plongée angoissante dans l’huile de palme.

Femme Actuelle par La Rédaction
Sous le voile pudique de la fiction, le film met en lumière des vérités sur le côté sombre de l’Indonésie et les méfaits de l’argent roi, quel que soit le pays.

Franceinfo Culture par Alexandra Gardes
Avec beaucoup de tension, mais aussi de sensibilité, « La Promesse verte » met en lumière les enjeux écologiques, politiques et économiques liés à la déforestation.

Le Parisien par Catherine Balle
À travers cette fiction captivante, Édouard Bergeon porte efficacement son message écologique et politique. Au final, « La Promesse verte » est un long-métrage porté par des acteurs habités. Un film engagé et émouvant, au nom de la (planète) Terre.

Télé 7 Jours par Julien Barcilon
Un réquisitoire aussi édifiant que révoltant contre le scandale de la déforestation, dont Alexandra Lamy porte haut le message engagé, en mère courage bouleversante.

Les Echos par Adrien Gombeaud
Armé de sincères convictions, Bergeon paraît aussi égaré dans son récit que dans la jungle de Bornéo. Un sujet fort qui aurait nécessité un scénario mieux ficelé pour s’imposer.

Les Inrockuptibles par Théo Ribeton
Félix Moati se tire assez miraculeusement d’un thriller écolo-patapouf.

Télérama par Frédéric Strauss
On perd de vue l’écologie, le propos reste vague et la promesse verte du titre n’est pas tenue.

L’Obs par Xavier Leherpeur
La mise en scène manque de souffle et de fougue. Et ne rend pas hommage au talent de ses comédiens parmi lesquels Sofian Khammes, toujours (et encore ici) excellent, malgré un rôle en pointillé.

Première par Thierry Chèze
Sans souffle, enchaînant les situations convenues, ses deux heures paraissent interminables.