« Inchallah un fils », un film d’Amjad Al Rasheed

📽Séances à Madiana
•Mercredi 17 avril à 19h
•Vendredi 19 avril à 14h
•Dimanche 21 avril à 11h

Inchallah un fils
Par Amjad Al Rasheed, Rula Nasser
Avec Mouna Hawa, Seleena Rababah, Haitham Omari
Titre original Inshallah Walad | 6 mars 2024 en salle | 1h 53min | Drame
Synopsis
Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.

La presse en parle :
Franceinfo Culture par Mohamed Berkani
« Inchallah un fils » est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante.

Bande à part par Nadia Meflah
Cette œuvre intimiste sur les ravages du patriarcat est aussi un thriller féministe admirablement mené. Avec un sens du suspense digne d’un polar hitchcockien.

Culturopoing.com par Alexandre Lebrac
Récit, ainsi que le présente son réalisateur, « de survie, d’émancipation et d’espoir », « Inchallah un fils » s’impose comme un plaidoyer puissant, nécessaire et porté par la grâce.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Le film d’Al Rasheed est un drame social réaliste, aussi puissant que ceux d’Asghar Farhadi.

L’Obs par Xavier Leherpeur
Cette fiction lucide, mise en scène avec sens très affûté du découpage, est une révélation.

La Septième Obsession par Xavier Leherpeur
Un film faussement naturaliste, non dénué d’un humour aux abois et superbement élaboré jusque dans sa bande-son, offrant par le biais de la fiction la possibilité à cette femme symbole de s’affranchir.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Un droit récit d’émancipation féministe, contre l’assujettissement à la tradition, contre le déclassement légalisé, contre une oppression systémique.

Le Monde par M. Dl.
Dotée d’un suspense qui monte à petit feu, cette comédie dramatique retrace les vicissitudes du veuvage de Nawal (l’actrice palestinienne Mouna Hawa), 30 ans, qui vient tout juste de perdre son mari.

Le Parisien par Catherine Balle
Très émouvant, ce film est par ailleurs empreint de suspense et traversé par l’espoir.

Les Échos par Olivier De Bruyn
Un premier film remarquable.

Les Fiches du Cinéma par Adèle Bossard-Giannesini
Un film rigoureux mais d’un réalisme académique.

Marianne par Olivier De Bruyn
Dans son premier film en forme d’uppercut, le débutant Amjad Al Rasheed suit à la trace une jeune veuve jordanienne qui, avec ses faibles armes, combat l’adversité et le machisme vociférant de son pays. Présentée l’an passé au festival de Cannes (une première pour un film jordanien), cette fiction implacable révèle un cinéaste prometteur.

Ouest France par Pascale Vergereau
Un superbe portrait de femmes.

Première par Damien Leblanc
Grâce à une minutieuse mise en scène où le personnage tente en permanence de s’extirper de décors étouffants pour gagner sa liberté, ce récit aux dialogues ciselés procure au final des sensations poignantes, lumineuses et apaisées.

Transfuge par Frédéric Mercier
Tout cela pourrait être édifiant et cynique si le film n’était mené tambour battant, avec une vigueur romanesque riche en péripéties et surtout en complexité.

Le Point par La Rédaction
Porté par l’interprétation poignante de Mouna Hawa, ce film prenant permet de saisir, à travers un destin individuel, la cruauté d’une société qui dénie aux femmes les droits les plus élémentaires.