« Eva en août », un film de Jonás Trueba

À Madiana. À partir du 24 septembre. Horaires ci-après.

Avec Itsaso Arana, Vito Sanz, Isabelle Stoffel
5 août 2020 /

Synopsis :

Eva, 33 ans, décide de rester à Madrid pour le mois d’août, tandis que ses amis sont partis en vacances. Les jours s’écoulent dans une torpeur madrilène festive et joyeuse et sont autant d’opportunités de rencontres pour la jeune femme.

La presse en parle :

Bande à part par Hélène Robert

De cette facilité à créer de l’opacité à partir d’un terrain sableux, le cinéaste espagnol Jonás Trueba signe un film diablement séduisant.

Libération par Sandra Onana

Ruisselant de charmes, le film musarde dans les rues de Madrid qu’il embrasse dans tous les plans, fuyant l’espagnolade de carte postale sans renier la qualité picturale de la ville.

Télérama par Jérémie Couston

Une chronique à la Rohmer d’une grâce absolue.

Cahiers du Cinéma par Eva Markovits

Au fil de ses déambulations loin des clichés touristiques, elle se construit « une nouvelle façon d’être au monde »: accueillir l’imprévu tout en le provoquant, laisser le hasard la guider tout en prenant acte.

Critikat.com par Chloé Cavillier

Conte philosophique aux multiples références, parfois explicites, Eva en août se révèle d’une tonalité étonnamment modeste et légère.

Culturopoing.com par Sophie Yavari

Déroulant un récit épuré qui fuit le mélodrame autant que le rire trop franc, le réalisateur et sa co-scénariste parviennent à retranscrire avec une grande justesse et une belle sensibilité les doutes d’une héroïne en quête d’elle-même.

La Croix par Céline Rouden

Un conte d’été de Jonás Trueba, transcendé par la grâce et la beauté virginale de son actrice et coscénariste, Itsaso Arana.

Le Figaro par Eric Neuhoff

Un film plein de charme.

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion

Dénué d’enjeu dramatique évident, long mais jamais barbant, « Eva en août » épouse la forme d’une lumineuse errance où l’ordinaire recèle bien des promesses.

Le Monde par Clarisse Fabre

Itsaso Arana et les comédiens, tous très justes, apportent l’énergie du collectif théâtral dans ces moments de discussion qui jaillissent, ou bien s’écoulent tranquillement, sans jamais causer de victimes, comme lors de ce somptueux pique­nique au bord de la rivière, seule scène de campagne dans ce film urbain.

Le Parisien par La Rédaction

Sous la torpeur madrilène, seul compte le moment présent. Et pour le spectateur, ce moment (suspendu) avec Eva est une parenthèse charmante et solaire.

Les Fiches du Cinéma par Julie Loncin

Une chronique philosophique pleine d’intelligence et de poésie.

Les Inrockuptibles par Marilou Duponchel

Une chronique tout en délicatesse. […] C’est avec un charme infini et planant, un hédonisme de chaque instant dans lequel on rêverait de se lover que le film collecte les péripéties quotidiennes de son personnage […] Eva, page blanche et pure présence, allégée de tout passé psychologisant.

Marianne par Audrey Lévy

On applaudit, quand on sait que le film a été réalisé, côté budget, avec trois fois rien.

Ouest France par Thierry Chèze

Chaque pièce se dévoile dans un rythme envoûtant, faisant fi de toute précipitation.

Première par Thierry Chèze

Un magnifique portrait de femme tout en délicatesse, porté par une actrice éblouissante : Itsaso Arana.

 

Projections à Madiana :

  • Jeudi 24 septembre | 19h30
  • Dimanche 27 septembre | 19h30
  • Vendredi 2 octobre | 14h