
Education, Formation, Instruction
Un peuple peut-il s’épanouir sans identité avec l’exogénisme
Une nation peut-elle prospérer dans l’ignorance populisme
Une élite peut-elle être responsable du devoir avec racisme
Comment expliquer une nation et la perte de son patriotisme
Que dire de l’incompétence de tous nos dirigeants immoraux
Pourquoi la corruption crapuleuse qui tue à tout les niveaux
Comment détruire une mentalité en servitude aux coloniaux
Peut-il y avoir une renaissance des bénéfices commerciaux
L’être humain peut toujours s’améliorer pour la progression
L’Elite sociale peut bien amender pour développer la nation
L’hypocrisie peut se transformé par l’altruisme de la religion
La moralité peut optimiser le défi de supprimer la corruption
Jean-Bernard Bayard
Monde Parallèle
Dans un univers parallèle les rôles sont alors renversés
Le grand portail universel permet de nouvelles réalités
L’être humain pourrait donc infiniment se transformer
Ainsi saurait se reproduire dans une toute autre entité
Notre monde en pet-et-en-travers des plus dévergondé
Pourrait-il avoir un univers parallèle altruiste et respecté
Où tous nos sals dirigeants corrompus et déshumanisés
Seraient alors incorruptibles compétents et désintéressés
Si nous avions un univers parallèle pour notre triste société
Serait-elle moins défavorisée avec des peuples plus engagé
Aurait-elle une grande harmonie et une belle homogénéité
Pourrions-nous inspirer une héroïque fratrie de solidarité
Jean-Bernard Bayard
Mercédès
Le vent du nord-est faisait rage et causait une nature orageuse. Le ciel d’un gris foncé s’illuminait d’éclairs qui ressemblaient à des feux d’artifice, les vagues semblaient se livrer à un combat sans merci. Au milieu de tout ce déluge, navigait Mercédès, un bateau de cabotage, piloté par mon frère Patrick. L’équipage hurlait pour s’entendre au dessus du vacarme naturel. La technologie n’avait pas encore fait son apparition, mais ces marins n’étaient pas d’eau douce, c’étaient des vétérans qui se connaissaient bien. Le bateau était propulsé par deux magnifiques moteurs et entretenus par Castor, un chef mécanicien de génie et un deuxième capitaine du nom de Nènè, vieux loup de mer qui semblait marcher mieux sur l’eau que sur terre. Un bateau marchand étranger accosta au port de la capitale, et le capitaine se rendit lui-même à l’administration portuaire afin de déclarer la perte de Mercédès. Ma mère et moi étions au quai de cabotage, pour accueillir Patrick, le bateau, le personnel, et la cargaison. Les autorités portuaires annoncèrent la perte du bateau aux responsables du quai. Deux heures après cette annonce, à l’horizon, se dessinait une petite fumée attachée à ce qui semblait être une petite enveloppe de noix de coco. Toute la communauté du cabotage se mit à sauter, crier, pleurer et à s’embrasser, ces gens savaient que Mercédès était invincible et que l’équipage était exceptionnel. Le bateau accosta dans une clameur étourdissante. La cargaison et les passagers étant débarqués, l’équipage se dispersa. Patrick finalement nous rejoignit, et quand maman lui demanda comment a été le voyage, il répondit avec un petit sourire narquois: « On a eu un petit coup de vent! »
