— Par Jean-Marie Nol —
Le péril jeune aux Antilles n’est pas une simple formule médiatique ou un cliché alarmiste. C’est une réalité sociale, culturelle et psychologique qui s’impose désormais comme l’un des défis les plus urgents des sociétés guadeloupéenne et martiniquaise. Voilà une vérité compliquée à admettre : les jeunes vont mal. La Génération Z traverse une période économique et psychologique difficile, avec des répercussions bien réelles sur l’économie globale.Lorsque la qualité de la vie se dégrade structurellement, ce sont toujours les couches les plus fragiles de la population qui en souffrent le plus et le plus vite. Les plus jeunes font partie de ces couches précaires. Quelles sont les spécificité de cette catégorie sociale ?
La génération Z, née entre 1995 et 2010, y concentre toutes les fragilités d’un monde devenu incertain, hyperconnecté et dépourvu de repères éducatifs solides. Souvent accusée d’inconstance, de manque de discipline, d’individualisme ou de désintérêt pour le travail, elle reflète surtout les défaillances d’un cadre collectif déstructuré. Les chiffres révèlent aujourd’hui l’ampleur d’un malaise qui dépasse largement les frontières caribéennes, mais qui se manifeste aux Antilles avec une acuité particulière.

La quête identitaire des nationalistes Guadeloupéens et Martiniquais comme une possible impasse menant à une dynamique de conflits, d’enfermement culturel et à la xénophobie.
Quid de la crédibilité de l’indépendance de la Martinique et de la Guadeloupe en question vu la nouvelle donne géopolitique et économique mondiale ?
Crise de trésorerie : gare à la reproduction des erreurs du passé ?
Quand les économistes s’inquiètent à juste titre de l’évolution négative prévisible de l’économie de la Guadeloupe et de la Martinique ?
— Par Jean Claude Halley —
Le Pourquoi de l’absence volontaire de récit national en France, et quelles sont les ramifications idéologiques de cette occultation en outre-mer ?
Exégèse d’un scénario inédit, déjà virtuellement écrit, d’un rattachement institutionnel de l’outre-mer à l’Union Européenne.
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers
L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Marie Nol —
Coup de rabot sur le budget de l’outre-mer : pourquoi autant de manque de discernement des intellectuels et d’aveuglement de nos élus ?
Mais qui sont les coupables et responsables des maux et de la dérive de la société antillaise ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Autonomie ou nouvel acte de décentralisation pour la Guadeloupe , telle est la question posée avec Naïma Moutchou au ministère des outres-mers ?
À la racine du mal- développement de la Guadeloupe se trouve une distorsion dans la formation du capital local
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
L’avenir de la société antillaise ne se dessine pas dans un futur lointain: il est déjà là en creux dans la trajectoire budgétaire de la France hexagonale qui fait face à des mutations et des problématiques quasi insolubles à régler dans l’immédiat.