— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Parler…
Parler pour ne rien dire ?
Parler quand on ne sait plus écrire…
Parler pour éviter le pire !
Parler car c’est le propre de l’homme
depuis qu’il a croqué la pomme…
Parler de ce qui compte, en somme :
parler d’amour, de la vie, de la mort
et, même si tout est dit, parler encore…
De vaincre sa timidité faire l’effort
et, pour se faire entendre, parler plus fort !
Parler jusqu’à ce qu’on tombe enfin d’accord…
Puis, quand on n’a plus rien à se dire,
qu’on ne sait vraiment plus quoi dire,
se souvenir que le silence est d’or
et se taire alors…
Faire…

Man ka sòti an sann
—Par Robert Berrouët-Oriol, l


—
Plus que jamais, Carpe Diem !
La main fantôme
Constat d’échec
Difé !
Amazones blues
Japé japé’w chyen
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Sa man-yé ?
A l’heure ou souffle un vent de haine aux États-Unis contre les Haitiens, je leur dédie mon poème pour le petit Aylan Kurdi mort d’avoir voulu trouver une terre d’accueil
— Par Myrna Nérovique —
En hommage fraternel et amical à Anthony Phelps, «
Wè ! Di wo gadé-mwen
« Apprivoiser la vie »
Ouvè zyé, pèp mwen !
Ni dé lannuit fènwè
Entropie