Pourquoi en l’absence de fibre patriotique, c’est désormais l’économie qui doit primer en matière de catalyseur du développement de la Guadeloupe ?
— Par Jean-Marie Nol, président du cercle des économistes de la Guadeloupe —
L’histoire de la Guadeloupe, tissée de conquêtes, d’appropriations, d’esclavage et d’assimilation, n’a pas encore permis l’émergence d’une nation avec un sentiment patriotique au sens classique du terme. Ce constat, loin d’être une opinion isolée, plonge ses racines dans un héritage colonial profondément ancré et toujours perceptible dans les structures économiques et sociales de l’île. Depuis le 28 juin 1635, date de la prise de possession de la Guadeloupe par la France, la construction identitaire du territoire s’est faite sous le sceau de la domination. Après l’extinction du peuple premier, la Guadeloupe est née colonie. Cette naissance brutale, marquée par l’extermination des populations autochtones Kalinagos, la traite négrière et la mise en esclavage de milliers d’Africains, a laissé en héritage une société fragmentée, dépendante financièrement et économiquement , assistée socialement où l’idée de nation n’a jamais réellement pu émerger jusqu’à aujourd’hui et a fortiori s’imposer au peuple .

— Par Robert Berrouët-Oriol(*) —
Le Reggae Therapy Festival revient pour sa 3ᵉ édition en Martinique. Cet événement musical dédié au reggae se tiendra au Stade Louis Achille à Fort-de-France les 12 et 13 juillet 2025. Deux jours de concerts live avec des artistes internationaux et locaux, accompagnés de nombreux exposants et restaurateurs.
« Je suis le peintre
—RS n° 402 lundi 7 juillet
Saviez-vous qu’aujourd’hui seuls
— Par Sabrina Solar —
— Par Jean Samblé —
Ainsi que le regrette un observateur dans un récent article, en ces temps de bouleversement de l’ordre social d’ici et d’ailleurs, l’élite martiniquaise se tait. Au pays de Césaire, de Fanon et de Glissant, les intellectuels sont à ce point silencieux qu’on pourrait se demander si la Martinique pense encore. Mais, finalement, que voulez-vous qu’ils fassent, en face de l’échec du pays qui est aussi le leur ?
— Par Robert Saé —
— Par Jean Samblé —
— Par Jean-Marie Nol —
Voilà le titre choc, provocateur du dernier recueil de poèmes d’Edgard Gousse. Celui-ci est publié aux Éditions Trois Amériques, au troisième trimestre 2025. Paré d’une magnifique et impressionnante couverture au fond rose teinté de blanc, ce livre, d’une centaine de pages, est illustré par l’auteur lui-même. Edgard Gousse a plusieurs cordes dans son arc. Il propose une contribution remarquable et remarquée dans des domaines variés. Romancier, essayiste, critique littéraire, poète, conférencier, artiste peintre et traducteur, ancien professeur des universités, il a déjà publié une cinquantaine d’ouvrages.
Le concept est essentiellement la saisie de ce qui se dégage du vécu, c’est la thèse abstractive et idéelle de départ qu’élabore l’entendement sur ce qu’il prend en étude pour l’appréhension théorique des schèmes abstrait ou concret de la connaissance humaine. Le concept est le porteur de l’éprouvement du sens du monde rendu en idée et langage… Le concept est la synthétisation langagière et idéelle d’une intuition subjective ou d’une observation objective.
La quatrième édition du Madin’ Japan Festival se déroulera sur deux jours, les 5 et 6 juillet 2025, au Lycée Schœlcher, un cadre emblématique qui offrira un environnement unique pour découvrir et célébrer la richesse de la culture japonaise. Organisé par l’association Otaku’s Family, ce festival s’adresse à un public large, allant des passionnés de longue date aux curieux souhaitant s’initier à cet univers fascinant.
Chapitre quatorze, deuxième partie
Tentative d’analyse de l’émission 7/10 de France Inter du 18 juin, lien ici:
— Par Marie Gauthier —
Dans le cadre du programme Schœlcher en fête, la ville invite la population à un large éventail d’activités sportives et de loisirs pour débuter les vacances en pleine forme.
— Par Daniel M. Berté —
Explorateur
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