« Les deux amis », un film de Louis Garrel

Avec Golshifteh Farahani, Vincent Macaigne, Louis Garrel
Genres Comédie, Romance
Nationalité Français
Déjà programmé en octobre 2015
Synopsis :
Clément, figurant de cinéma, est fou amoureux de Mona, vendeuse dans une sandwicherie de la gare du Nord. Mais Mona a un secret, qui la rend insaisissable. Quand Clément désespère d’obtenir ses faveurs, son seul et meilleur ami, Abel, vient l’aider. Ensemble, les deux amis se lancent dans la conquête de Mona.

La presse en parle :

20 Minutes par Caroline Vié
Dans ce premier long-métrage drôlement tendre, (…) Louis Garrel (…) gagne son pari, celui de livrer une œuvre sensible et attachante.

aVoir-aLire.com par Marianne Renaud
Un film intimiste plutôt bien mené, servi par des interprètes captivants et une photographie d’une élégance remarquable.

Le Journal du Dimanche par Danielle Attali
Sur des dialogues souvent très drôles et des situations farfelues, cette comédie attachante file à rythme soutenu.

Le Nouvel Observateur par La Rédaction
C’est vif, intelligent, souvent drôle, touchant aussi. (…) Golshifteh Farahani est éblouissante, et la subtilité de son jeu fait merveille, face aux deux lascars, également excellents.

Les Inrockuptibles par Emily Barnett
Pour son passage à la réalisation, Louis Garrel, auteur de trois courts métrages, a fait un film qui lui ressemble ; volubile, vif et tendre. Etonnant de liberté.

Libération par Julien Gester
Si la séduction l’emporte pourtant, c’est que le film trouve sa voie et son ton dans un principe de légèreté grave à laquelle il n’entend jamais déroger (…).

Positif par Yann Tobin
Plus parisien tu meurs? Certes, mais ne boudons pas notre plaisir: les personnages existent, les dialogues font mouche, on sourit beaucoup et c’est joliment filmé.

Première par Isabelle Danel
S’il n’était que le récit d’un triangle amoureux, le premier film de Louis Garrel ne laisserait pas de telles traces.

Studio Ciné Live par Thomas Baurez
Louis Garrel signe un film sur l’amitié blessée, à la fois drôle, tragique et habité.

Télérama par Samuel Douhaire
Le film multiplie avec brio les ruptures de ton. Louis Garrel ose d’étonnantes scènes de burlesque potache, allie la légèreté des situations à la gravité des sentiments, alterne tension soudaine et pauses contemplatives. (…)