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lundi 7 novembre 2016
19h30
mardi 8 novembre 2016
19h 30
Jeudi 10 novembre 2016
19h 30
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A Madiana |
Juste la fin du monde De Xavier Dolan
Avec Gaspard Ulliel, Nathalie Baye, Léa Seydoux
Genre Synopsis
Synopsis:
Après douze ans d’absence, un écrivain retourne dans son village natal pour annoncer à sa famille sa mort prochaine.
Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l’on se dit l’amour que l’on se porte à travers les éternelles querelles, et où l’on dit malgré nous les rancoeurs qui parlent au nom du doute et de la solitude.
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La presse en parle :
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Cela donne un repas vociférant et apocalyptique, où Xavier Dolan, dans un style baroque parfaitement maîtrisé, enterre avec rage et brio non seulement ses démons intimes mais la part adolescente de son cinéma que ceux-ci ont jusqu’ici nourrie.
Le Monde par Jacques Mandelbaum
Le film est un traité clinique de la folie familiale, une saisissante coupe in vivo de l’égarement de l’amour.
Femme Actuelle par Valérie Beck
Voilà un huit-clos magnifique et poignant sur une famille en plein chaos, incapable de communiquer. Grand Prix du festival de Cannes, ce film, qui oscille entre retenue et éclats, offre à des comédiens pourtant déjà bien aguerris l’une de leurs plus belles prestations, à fleur de peau.
Elle par Françoise Delbecq
Le film est bavard, lyrique, parfois hystérique, mais la caméra de Xavier Dolan a su divinement capter les regards d’une cérémonie d’adieu qui vire au chaos. L’intensité dramatique est à son comble. On est bouleversés.
La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
Grand prix et prix du jury œcuménique au Festival de Cannes, cette libre adaptation de la pièce de Jean-Luc Lagarce confirme l’immense talent de Xavier Dolan, le petit génie du cinéma québécois.
Télérama par Louis Guichard
Faire jouer à ces acteurs-là (sans oublier Léa Seydoux), tous célèbres et rayonnants, une partition aussi noire, radicale et minoritaire, d’un dramaturge plutôt méconnu, voilà un geste artistique fort et ambitieux. Une manière exemplaire d’entretenir la flamme de la cinéphilie.
Culturebox – France Télévisions par Pierre-Yves Grenu
Le Québécois s’est mis en danger avec ce nouveau film : adaptation d’une pièce de théâtre, un casting de stars françaises… Pari réussi : la magie Dolan fait son œuvre, une nouvelle fois.
aVoir-aLire.com par Alexandre Jourdain
Troublant de désinvolture, le nouveau Dolan fait poindre un spleen jamais sentimentaliste et infiniment romanesque. Autant d’étourdissements émotionnels portés à leur firmament.
Le Nouvel Observateur par Pascal Mérigeau
Moins sentimental, moins séduisant que « Mommy », « Juste la fin du monde » offre à Xavier Dolan l’occasion de démontrer qu’il n’est pas prisonnier de l’image que certains ont cru pertinent de dessiner de lui et de son cinéma.
Première par François Léger
La fin d’un cycle pour le cinéaste, et l’aboutissement de son obsession pour le foyer dysfonctionnel et l’amour-haine. Canalisé par le non-dit, enfin mis à nu, le cinéma de Xavier Dolan n’a jamais été aussi beau.
Cahiers du Cinéma par Vincent Malausa
Le cinéma de Xavier Dolan est insatiable (…) « Juste la fin du monde », son sixième long métrage, concentre cette voracité – débauche d’énergie, de lyrisme, de vertige – dans un dispositif minimaliste de psychodrame.
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mercredi 9 novembre 2016
19h 30
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Moi, Daniel Blake
De Ken Loach
Avec Dave Johns, Hayley Squires, Dylan McKiernan plus
Genre Drame
Synopsis
Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l’aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l’obligation d’une recherche d’emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au « job center », Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants qui a été contrainte d’accepter un logement à 450km de sa ville natale pour ne pas être placée en foyer d’accueil. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, Daniel et Katie vont tenter de s’entraider…
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La presse en parle :
Culturebox – France Télévisions par Boris Courret
Un chef d’œuvre. De pureté et de pudeur. Un chef d’œuvre dépouillé, teinté d’une colère glaçante.
Positif par Grégory Valens
Au moment où les alternatives politiques à gauche se rédusent comme peau de chagrin (…), la combativité jamais ébranlée de Loach est plus que jamais nécessaire pour pointer les errements de nos sociétés et guider les citoyens vers un autre monde.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Dans cette histoire de gens de peu pris entre l’humiliation, la révolte et la soumission, Ken Loach fait du Ken Loach. À quoi on répondra qu’il a bien raison d’en faire, et plus que jamais, ne serait-ce que pour faire résonner dans la dernière phrase de son film ces mots en péril : un homme, un citoyen…
La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
Une œuvre magnifique et bouleversante. Mise en scène réaliste, plans-séquences énergiques, rythme, dialogues, situations : tout sonne juste.
Transfuge par Frédéric Mercier
Il y a toujours cette direction d’acteurs de génie qui donne de la dextérité aux non professionnels et une souplesse juvénile aux plus chevronnés. Palme d’or, victime de polémiques stériles, Loach demeure un maître.
Le Figaro par La rédaction
Interprète de Daniel Blake, l’humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d’un humour sans plainte.
20 Minutes par Caroline Vié
Sa deuxième Palme d’or, Ken Loach la mérite largement. Le réalisateur britannique de 80 ans n’a pas perdu la rage de sa jeunesse et le montre avec le bouleversant « Moi, Daniel Blake ».
Télérama par Cécile Mury
A 80 ans, Ken Loach n’a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans « Moi, Daniel Blake », « son » Angleterre (…) : ce peuple que plus personne, sauf lui, n’appelle la classe ouvrière.
Gala par Amélie de Menou
Si on peut reprocher au réalisateur anglais de rechercher à tout prix les larmes de son audience (et ça marche ! Ceux qui y résistent passeront pour insensibles), on ne peut néanmoins nier son acuité et son ardeur à dénoncer, encore et toujours, le mal social de notre temps. C’est – hélas et tant mieux – ce qu’il sait faire de mieux.
Le Nouvel Observateur par Pascal Mérigeau
A travers le portrait de Daniel Blake et de sa misère, Ken Loach renoue avec ses ambitions premières : « donner la parole à ceux que l’on n’entend jamais ». et il le fait bien.aVoir-aLire.com par Alexandre Jourdain
Ken Loach revient avec un fresque sociale vertigineuse à la Dickens. Qu’elles semblent loin, les velléités de retraite du britannique, lui qui se montre plus révolté que jamais avec Moi, Daniel Blake !
Bande à part par Fadette Drouard
Loach et Laverty sont revenus à une épure salutaire : ils ne font pas de pathos et ils aiment profondément leurs personnages.
LCI par Jérôme Vermelin
Ici l’épure est totale, à l’image de la bibliothèque que Daniel construit dans l’espoir que Rachel y pose ses livres et reprenne ses études. Un motif tout bête, qui fend le cœur jusqu’au final, terrassant.
Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Avec deux acteurs exceptionnels, ce film dur et attachant affirme de bout en bout sa rigueur, son humanité, sa vraisemblance, sa pertinence politique.
L’Express par Eric Libiot
Le réalisateur n’a jamais été aussi précis, aussi direct, aussi simple donc. (…) Ici, il avance sans artifices. Loach semble dépassé par un monde qui broie trop vite, mais il ne s’avoue pas vaincu. Il n’essaie plus de dénoncer, il montre, ce qui est suffisant pour créer de l’empathie et de l’universel.
La Voix du Nord par Philippe Lagouche
Si manichéen et un tantinet démagogique soit le scénario de Paul Laverty guère enclin à s’embarrasser de subtilité et de complexité, il faut reconnaître que la mise en scène, par son énergie et sa sécheresse, a repris du poil de la bête. Rien à reprocher non plus aux acteurs. Tous parfaits, qu’ils soient professionnels ou amateurs.
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lundi 14 novembre 2016
19h 30
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jeudi 24 novembre 2016
19h 30
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D’une famille à l’autre
De Anna Muylaert
Avec Naomi Nero, Dani Nefussi, Matheus Nachtergaele plus
Genre Comédie dramatique
Synopsis
Felipe profite de sa fin d’adolescence dans les fêtes branchées de São Paulo. Sa mère, qui l’élève seule avec sa jeune soeur, lui laisse une grande liberté. Sauf que leur mère n’est pas leur mère: un test ADN prouve qu’elle les a enlevés à la naissance. Séparés, les enfants sont précipités dans leur vraie famille. Les parents biologiques de Felipe, à sa recherche depuis 17 ans, se retrouvent face à un adolescent qui ne partage pas tout à fait leur conception de la vie… |
La presse en parle :
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Un mélodrame familial doublé d’une crise d’identité sexuelle : la barque est lourde, mais la réalisatrice sait la mener avec doigté.
Première par Damien Leblanc
Porté par un récit concis et direct, la caméra donne fièrement vie à ce vibrant corps cinématographique qui, malgré l’adversité, conserve jusqu’au bout sa lumineuse énergie.
Positif par Eithne O’Neill
La mise en scène est faite de nuances. Ni dénouement, ni confrontation excessive, mais des touches impressionnistes, de sons, de cuisine, de couleurs et tons que le spectateur déchiffre.
Les Fiches du Cinéma par Nathalie Zimra
Inspiré d’une histoire vraie, un film aussi maîtrisé que convaincant.
Libération par Gilles Renault
Un film tout en nuances (…).
La Voix du Nord par La Rédaction
L’intérêt réside surtout dans l’exposé frontal des questions cuisantes auxquelles se confrontent de jeunes acteurs à fleur de peau.
Le Monde par Jacques Mandelbaum
Construit dans une économie de récit et de durée, le film n’affirme pas autre chose que son exceptionnalité.
Studio Ciné Live par Laurent Dijan
Le sujet prend aux tripes, mais le film lambine avant de l’aborder frontalement et s’achève de manière trop abrupte. De quoi rester un peu sur sa faim.
Le Journal du Dimanche par Danielle Attali
Un drame psychologique réaliste et sensible qui interroge sur l’amour filial autant que maternel et sur la difficile sortie de l’adolescence.
Télérama par Frédéric Strauss
Malgré des idées intéressantes (les deux mères sont jouées par la même actrice), tout est traité trop vite, sans densité ni nuance.
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Mardi 15 novembre 2016
19h 30
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No Land’s Song
De Ayat Najafi
Avec Sara Najafi, Parvin Namazi, Sayeh Sodeyfi plus
Genres Documentaire, Musical
Synopsis:
En Iran, depuis la révolution de 1979, les femmes n’ont plus le droit de chanter en public en tant que solistes.
Une jeune compositrice, Sara Najafi, avec l’aide de trois artistes venues de France (Elise Caron, Jeanne Cherhal et Emel Mathlouthi), va braver censure et tabous pour tenter d’organiser un concert de chanteuses solo. |
La presse en parle :
Le Parisien par Hubert Lizé
Ce très beau documentaire raconte cette aventure jusqu’au concert. Il s’en dégage un souffle de colère et de liberté, une émotion intense.
Les Fiches du Cinéma par Marie Toutée
Un magnifique hommage rendu aux chanteuses solistes iraniennes, interdites de se produire en public depuis la révolution de 1979.
Première par Isabelle Danel
L’absurde interdiction donne à ce long métrage malin et courageux des accents de thriller politique tragicomique. L’hommage rendu aux voix féminines (d’hier et d’aujourd’hui) est d’une puissance aussi simple que bouleversante.
Gala par Camille Choteau
Un documentaire édifiant. A ne pas manquer pour que ce concert ne reste pas “une goutte d’eau dans l’océan” comme s’en inquiétait l’une des protagonistes.
Télérama par Pierre-Julien Marest
Il faut absolument voir « No Land’s Song » qui, à mille lieues de nos sinistres télé-crochets, rappelle le potentiel subversif de l’art lyrique.
aVoir-aLire.com par Judith Godinot
Un documentaire poignant sur le contournement en chansons et enchanté d’une loi absurde. Salutaire.
Paris Match par Catherine Schwaab
A travers ses retournements dramatiques, le film révèle la brutalité et la perversité de la dictature des mollahs.
Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
S’il prend la forme d’un parcours exaspérant en plus d’être abracadabrant, régime autoritaire oblige, le défi de cette chronique nous réserve tout de même quelques découvertes poignantes et musicales.
Les Inrockuptibles par Jean-Baptiste Morain
Le film montre au quotidien l’absurdité d’une société très administrée obéissant à l’irrationnel (…) C’est un film simple, sans prétention formelle, mais riche et bouleversant.
Le Monde par Thomas Sotinel
« No Land’s Song » se distingue par sa charge politique. (…) Mais il faut aussi ouvrir les oreilles et les yeux.
La Croix par Corinne Renou-Nativel
Sans être doté d’une mise en scène originale, « No Land’s Song » captive par son récit sur fond d’élections qui permettront la transition d’Ahmadinejad à Rohani, ainsi que par la détermination et l’énergie de ses héroïnes.
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Mercredi 16 novembre 2016 19h 30
&
mardi 22 novembre 2016
19h 30
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La Saison des femmes
De Leena Yadav
Avec Tannishtha Chatterjee, Radhika Apte, Surveen Chawla
Genre Drame
Synopsis:
Inde, Etat du Gujarat, de nos jours. Dans un petit village, quatre femmes osent s’opposer aux hommes et aux traditions ancestrales qui les asservissent. Portées par leur amitié et leur désir de liberté, elles affrontent leurs démons, et rêvent d’amour et d’ailleurs.
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La presse en parle :
aVoir-aLire.com par Claudine Levanneur
Une ode magnifique et nécessaire à celles qui, tous les jours par leur optimisme et leur courage font reculer les formes d’oppression dont sont encore trop souvent victimes les femmes.
Télérama par Nicolas Didier
Si le film fascine tant, c’est pour ses fulgurances (…). Et ses ruptures de ton qui font passer, en un instant, de l’effroi au rire, en désamorçant sans cesse le pathos.
Paris Match par Yannick Vely
Si les héroïnes restent des archétypes – la veuve, la femme battue, la prostituée -, Leena Yadav déploie une vraie énergie dans la mise en scène et l’on ne peut être que révolté, comme ces jeunes femmes, par la vie qu’on leur promet.
Le Monde par Noémie Luciani
Ce brûlot féministe, magnifiquement interprété, mêle la colère avec la coquetterie bollywoodienne et les danses exotiques.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Un film fort, sorte de “Mustang” à la sauce tandoori, et où la beauté, même tuméfiée, trace inexorablement sa voie.
Studio Ciné Live par Thierry Chèze
Un beau film qui raconte la violence machiste avec de nombreuses scènes dansées, sans verser dans la caricature.
La Croix par Marie Soyeux
Ce film détourne certains codes de Bollywood pour raconter l’émancipation de quatre Indiennes dans un petit village du Gujarat. Avec plus ou moins de finesse, mais une incontestable audace.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif par Yannick Lemarié
« La Saison des femmes » est démonstratif, mais il est porté par une telle énergie (celle de la réalisatrice comme des actrices) et par un tel souci de donner la parole à celles que la société condamne au silence (…) qu’on passera outre ses petits défauts.
Culturopoing.com par Thomas Roland
« La saison des femmes » relève de ce même exotisme qui illustre les boîtes de conserve de plats orientaux pimentés, mais affadis afin de ne pas heurter le délicat palais des Occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
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vendredi 18 novembre 2016
19h 30
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mercredi 14 décembre 2016
19h30
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Les mille et une nuits
Volume 1
L’inquiet
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dimanche 20 novembre 2016
11h
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Le pape François |
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lundi 21 novembre 2016
19h 30
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De Marco Bellocchio
Avec Lou Castel, Paola Pitagora, Marino Mase plus
Genre Drame
Nationalité Italien
Synopsis
Souffrant d’épilepsie, le jeune Alessandro s’est, petit à petit, enfermé dans son monde. Perdu dans l’admiration qu’il a pour son frère Augusto, qui rêve d’épouser Lucia, et pour se donner le sentiment de dominer son destin, Alessandro entreprend de détruire le carcan familial.
8ème meilleur film de tous les temps, en version restaurée!
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La presse en parle :
Le Monde par Isabelle Regnier
A travers la trajectoire d’Alessandro, en l’inscrivant comme Bellocchio l’a fait dans un contexte socio-historique spécifique, qu’il connaissait bien pour en être issu, Les Poings dans Ies poches saisit la complexité du conflit entre pulsion de mort et pulsion de vie au moment de I’adolescence.
Télérama par Aurélien Ferenczi
Quarante-cinq ans plus tard, le film frappe encore. Pas seulement par sa superbe photo en noir et blanc et ses gros plans hyper expressifs, mais surtout par sa force vénéneuse, très dérangeante.
Critikat.com par Anne-Violaine Houcke
Huis clos tragique sur lequel souffle déjà un air d’opéra, Les Poings dans les poches met en scène la folie morbide de Sandro, décidé à débarrasser son frère de la famille de tarés qui l’entoure. Filmant des écorchés vifs, Bellocchio lamine le monde dans lequel ils sont nés.
Les Inrockuptibles par Amélie Dubois
Bellocchio excelle (…) Il est troublant de voir à quel point l’écriture et l’univers du cinéaste italien sont déjà bien affirmés, (…) et d’une esthétique vive, contemporaine, parfaitement à l’écoute de son sujet.
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mardi 22 novembre 2016
19h 30
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La saison des femmesVoir ci-dessus |
mercredi 23 novembre 2016
19h 30
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Divines
De Houda Benyamina
Avec Oulaya Amamra, Kevin Mischel, Jisca Kalvanda plus
Genre DrameSynopsis:
Interdit aux moins de 12 ans
Dans un ghetto où se côtoient trafics et religion, Dounia a soif de pouvoir et de réussite. Soutenue par Maimouna, sa meilleure amie, elle décide de suivre les traces de Rebecca, une dealeuse respectée. Sa rencontre avec Djigui, un jeune danseur troublant de sensualité, va bouleverser son quotidien. |
La presse en parle :
aVoir-aLire.com par Claudine Levanneur
Un film qui, en plus d’être humain et bouleversant, nous offre pleinement le charisme, la générosité et le talent de la toute jeune Oulaya Amamra, petite sœur de la réalisatrice. Un duo prometteur que le cinéma a intérêt à ne pas perdre de vue.
Télérama par Cécile Mury
À mesure qu’il plonge dans la noirceur du polar, qu’il referme le piège sur ses héroïnes, « Divines » perd un peu de son originalité. Il reste, malgré tout, l’une des révélations de l’année, notamment grâce au talent inouï de ses jeunes interprètes.
LCI par Marilyne Letertre
Le film de Houda Benyamina est tout à la fois : un récit d’apprentissage, une éducation sentimentale, sociale et religieuse, une déclaration d’amour à la danse et au cinéma, un thriller féminin sous tension, une histoire d’amitié…. Le tout conté tantôt avec lyrisme et poésie, tantôt avec réalisme et violence. Parfois avec humour. « Divines » est inclassable, en marge, libre. Donc unique.
L’Humanité par Eugénie Barbezat
Le résultat est stupéfiant : un film aussi brutal que la société, aussi humain que celles qui font feu de tout bois pour s’y faire une place au chaud. Au risque de périr dans les flammes d’un enfer dont elles ont préparé le brasier.
Télé 2 semaines par Thomas Colpaert
Bouleversant, le film est porté par l’énergie incroyable de ses comédiennes inconnues, à commencer par la révélation Oulaya Amamra (Dounia), petite sœur de la réalisatrice, époustouflante de vérité.
Le Parisien par Renaud BaronianUn film coup de poing, en forme de tragédie moderne, sombre et drôle.
Positif par Alain Masson
Les trois protagonistes féminins trouvent des interprètes engagées à fond dans leur jeu. La réalisation est souvent inventive. Malgré son dénouement lugubre, cette oeuvre suscite bien des espérances.
20 Minutes par Caroline Vié
La réalisatrice ne masque jamais la dureté de la réalité, mais elle montre aussi les joies que réservent Snapchat et les vidéos tournées entre potesses. Ses « Divines » galvanisantes ont autant d’âme que de clito et c’est pour cela qu’elles restent durablement dans la tête et dans le cœur du spectateur.
Marianne par Patricia Neves
Comme tant d’autres films, « Divines » emprunte au parcours initiatique du jeune de quartier populaire sa matière brute, ses clichés, pour mieux les tordre cependant, sans angélisme ni bons sentiments.
Femme Actuelle par La Rédaction
Ce film ne constitue pas un énorme drame sur les banlieues, mais dresse le portrait réaliste et plein d’énergie, aussi drôle que bo
Télé 7 Jours par Laurent Djian
Un film qui oscille entre la chronique adolescente, le polar rugueux et le cri de révolte contre une société injuste et libérale. Dense et puissant, il s’en dégage surtout une énergie sidérante.
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jeudi 24 novembre 2016
19h 30
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D’une famille à l’autre |
vendredi 25 novembre 2016
19h 30
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Les mille et une nuits Volume 2Le désolé
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Dimanche 27 novembre 2016 |
Alliés |
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La suite bientôt |
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