« J’irai où tu iras », un film de Géraldine Nakache

Jeudi 24 octobre 2019 à 19h 30 Madiana

Avec Leïla Bekhti, Géraldine Nakache, Patrick Timsit
Genre Comédie
Nationalité français
Date de sortie 2 octobre 2019 (1h 40min)

Synopsis :
Vali et Mina sont deux sœurs que tout oppose, éloignées par les épreuves de la vie. L’une est chanteuse, rêveuse et émotive. L’autre est thérapeute, distante et rationnelle. Leur père aimant finit par trouver l’occasion rêvée pour les rassembler le temps d’un week-end et tenter de les réconcilier : Vali a décroché une audition à Paris et c’est Mina qui va devoir l’y emmener malgré son mépris pour la passion de sa sœur.
C’est une histoire de retrouvailles, une histoire d’amour entre deux sœurs, l’histoire d’une famille qui s’aime mais qui ne sait plus se le dire.

La presse en parle :

Ouest France par Thierry Chèze
Piquante mais jamais moqueuse, émouvante mais jamais larmoyante, cette comédie s’appuie sur la complicité savoureuse du duo pour faire mouche.

20 Minutes par Caroline Vié
Géraldine Nakache en chanteuse qui se rêve choriste pour Céline Dion et Leïla Bekhti en thérapeute introvertie font une force de leur amitié complice.

BIBA par Lili Yubari
Une histoire d’amour émouvante entre deux «sœurs», dans le film et dans la vie, où on entend aussi du France Gall (scène déjà culte) !

Elle par Ophélie Daguin
Un film qui saura à coup sûr vous faire rire comme pleurer. Foncez !

Femme Actuelle par Amélie Cordonnier
Touchant et drôle, ou est-ce l’inverse ? Géraldine Nakache réussit à faire du bon divertissement, avec des sujets profonds.

L’Express par Christophe Carrière
« J’irais où tu iras » est une jolie réussite, avec un rythme impeccable où le rire le dispute aux larmes, yoyo émotionnel propre aux relations humaines bien racontées.

Voici par Lola Sciamma
Un joli film sur la place qu’on décide de prendre dans la vie.

Bande à part par Anne-Claire Cieutat
Sous le vernis d’une comédie dramatique familiale, frémit une vraie sensibilité et se murmurent des vœux avec une pudeur qui attise le regard et l’écoute.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Une comédie douce-amère un peu éparpillée mais riche en émotions et toujours respectueuse de sa vocation populaire.

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Une comédie pleine de bons sentiments sur les déchirures familiales, que ses deux interprètes, par leur complicité, sauvent du pathos émotionnel, sans toutefois retrouver ce qui faisait la fraîcheur de “Tout ce qui brille”.

Les Fiches du Cinéma par Clément Deleschaud
Un road-movie sur fond de cicatrices familiales + deux actrices iconiques + un Patrick Timsit très (très) gentil + des gags (drôles) et du sérieux (compassé) + des tartelettes au citron – une ambition cinématographique = le sympathique et indolore « J’irai où tu iras ».

Les Inrockuptibles par Théo Ribeton

Le rire est parfois limite en trop (…) et surtout il couve une vraie mélancolie : celle des dingos eux-mêmes, toujours un peu des âmes perdues, enfants-adultes douloureusement inquiets, et celle des deux sœurs, dont la mésentente outrepasse les codes du buddy movie.

Première par Thierry Chèze
J’irai où tu iras raconte cet affrontement entre deux forts tempéraments où l’extériorisation de non-dits sera l’occasion d’arriver enfin à se dire « je t’aime ». Géraldine Nakache y parvient avec une autodérision toujours bien sentie et un humour jamais moqueur.