Depuis le début de l’année 2021, des graffitis appelant à la haine vis-à-vis des Haïtien-ne-s vivant en Martinique sont écrits sur les murs de certaines villes.
Les associations signataires appellent l’édilité communale à, d’une part, réagir fortement en demandant à son personnel d’effacer dans les délais les plus courts ces propos ignobles qui refont leurs apparitions et, d’autre part, à appeler la population à l’aider dans cette action en les signalant.
En effet, ces écrits xénophobes stigmatisent et diffusent des idées qui ne reposent sur aucun fondement. Elles réveillent au sein de la population des sentiments négatifs dans un climat général de crainte, d’angoisse compte tenu de la situation économique et sanitaire qui développe chez beaucoup de personnes un sentiment d’impuissance.
Les associations signataires, sous différentes formes, détournement du contenu des écrits, peinture pour les faire disparaitre, communiqués ont à leur niveau voulu effacer ces ignominies et interpeler la population pour qu’elle réagisse contre ces infamies.
Les dîtes associations sont prêtes aussi à participer à des réunions d’information que vous initierez pour la population de votre commune.
Dans l’attente de la mise en oeuvre de votre compétence dans ce domaine en précisant les risques de sanctions pénales encourus par toute personne appelant à la haine contre tout groupe, veuillez agréer les salutations distinguées des associations signataires de cet appel citoyen.



La Station Culturelle est heureuse d’accueillirles artistes Singeon et Stéphanie Cazaentre pour une résidence de création intitulée
CALYPSO
Emplastik
«
En matière de pollution chimique la Martinique n’est pas face à une page blanche, durant des années nos agriculteurs ont épandu sur leurs propriétés des produits dangereux, Pierre DAVIDAS (actuellement décédé) Robert RANCIO et Florent GRABIN votre serviteur, ont, avec l’association écologique APPELS pris de grands risques pour faire comprendre qu’il fallait passer à des méthodes alternatives ; nous avons été vilipendés, traînés dans la mangrove de la discrimination, du dénigrement, mais nous avons résisté, nous, PUMA, avons le devoir moral de ne pas laisser travestir l’Histoire sur la question de l’usage des pesticides, tant chez nous qu’au niveau international. 


Rendez-vous le 12 février prochain à 17h à L’Artchipel – Scène nationale de la Guadeloupe pour découvrir cette nouvelle création danse et cirque contemporain !

C’est la loi de la vie, mais la loi est dure. J’apprends la mort de Pierre PETIT et c’est une immense tristesse qui m’envahit à titre personnel et aussi comme porte-parole de RENAISSANCE MARTINIQUE.




L’entrée en fonction pour un être parlant de son nom par la consistance du symbolique, l’inscrit à l’ordre de la transmission suivant une lignée ancestrale. Cette fonction de la nomination, marquée aux Antilles par le contexte historique de la CER (Colonisation Esclavagiste Racialisée), réalise l’être parlant, au-delà du nom propre, à une nomination imaginaire de la couleur de peau qui privilégie le regard. La dimension de l’imaginaire surmonte dès lors la dimension du symbolique et vient organiser le lien social et le rapport du sujet à la parole.
La Havane – Décrété en février 1962 et toujours en vigueur: l’embargo américain contre Cuba, l’un des plus longs régimes au monde de sanctions unilatérales, empoisonne depuis 60 ans les relations diplomatiques entre les deux pays.
Ils sont chercheurs, certains appartiennent au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ou au Haut Conseil pour le climat, et ils regrettent l’absence de débats sur la crise climatique et environnementale dans la campagne présidentielle. Ils interpellent les candidats et les médias pour qu’ils s’emparent de ces sujets décisifs pour notre avenir.
Paris – Faut-il forcer les gens à se faire vacciner ? L’idée, aussi ancienne que les vaccins eux-memes, ressurgit actuellement face au Covid et creuse toujours de profonds clivages entre gardiens des libertés publiques et défenseurs de la sécurité sanitaire
La metteuse en scène et auteure brésilienne Christiane Jatahy a été couronnée ce lundi 31 janvier par le prestigieux Lion d’or de la Biennale de Venise pour l’ensemble de son œuvre théâtrale. Jatahy est une des figures les plus originales de la vague de théâtre qui a déferlé sur l’Atlantique et régénéré la scène européenne au cours des dernières décennies. Elcio Ramalho l’a jointe par téléphone à Rio pour recueillir sa réaction après l’annonce du prix.