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« Incandescences » à Tropiques-Atrium, texte et m.e.s. d’Ahmed Madani

Vendredi 26 janvier à 19h30

–– Présentation par Ahmed Madani

Dans le sillage d’Illumination(s) en 2012 et de F(l)ammes en 2016, Incandescences, dernier chapitre de la trilogie Face à leur destin, met en scène des jeunes femmes et des jeunes hommes non professionnels, nés de parents ayant vécu l’exil et résidant dans des quartiers populaires. L’objectif de cette nouvelle aventure s’inscrit dans la dynamique des précédentes : investir les scènes de France pour y faire entendre la voix d’une jeunesse rarement entendue, y amener d’autres corps, d’autres visages, d’autres histoires, poussé par un vent de liberté, de joie et d’espérance.

« Je prends deux morceaux de la réalité et je les frotte pour que le feu de la fiction en jaillisse. »

– P.Roth

Avec Incandescences, c’est par la bouche des enfants qu’ils ont engendrés que les corps de ces parents venus d’ailleurs et souvent cantonnés à n’être que des forces de travail, nous apprennent qu’ils sont aussi d’incroyables forces d’amour.

Lire la critique de Roland Sabra (Avignon en juillet 2021)

Une centaine de filles et de garçons, âgés de vingt à trente ans, ont accepté de rencontrer Ahmed Madani et de lui ouvrir leur cœur.

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« J’ai rencontré Dieu sur Facebook… », texte et m.e.s. d’Ahmed Madani

Mercredi 20 Janvier 19h30 – Salle Frantz Fanon

Par Scarlett Jesus
Après F(l)ammes, programmé à l’Artchipel en 2018, J’ai rencontré Dieu sur Facebook vient de permettre au public guadeloupéen de retrouver l’univers d’Ahmed Madani. L’univers de cet auteur, d’origine algérienne et né en 1952, reste le même et concerne à nouveau les jeunes femmes, immigrées et d’origine musulmanes, installées en France. Mais aussi les filles de celles-ci entrant en conflit avec leurs mères.

La mise en scène de cette relation mère/fille va constituer près de la moitié de la pièce. La mère, Salima, élève seule Nina, sa fille de 15 ans. La tendre complicité mère-fille se trouve perturbée par un double deuil, Salima perdant sa mère et Nina sa meilleure amie. A partir de là rien n’est plus comme avant et Nina va s’opposer à sa mère, refusant de poursuivre ses cours de violon, dans un premier temps, puis revendiquant un prénom musulman… Que s’est-il passé ?

C’est la deuxième partie de la pièce qui va nous éclairer et en donner les causes. Des causes dont l’auteur cherchera à comprendre et expliciter les origines psychologiques.

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#Culturecheznous, deux nouveaux spectacles !

#Culturecheznous – SAMO, a tribute to Basquiat de Koffi Kwahulé

Laëtitia Guédon, un parcours sans faute

Formée à l’École du Studio d’Asnières et au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, Laëtitia Guédon fonde la Compagnie 0,10 et dirige de 2009 à 2014 le « Festival au Féminin » à Paris. Elle met en scène des textes de Koffi Kwahulé, Kevin Keiss, Patrick Chamoiseau… 

Riche d’un métissage singulier, elle est en quête d’une esthétique indisciplinée où se mêlent en permanence les arts et en particulier le théâtre, la danse et la musique live. Elle accorde une attention particulière aux écritures contemporaines en associant des auteurs vivants à l’écriture des spectacles.

En 2016, elle est nommée à la direction des « Plateaux Sauvages », fabrique artistique de la Ville de Paris, établissement culturel situé au coeur du XXème arrondissement. « Dans la capitale, peu de lieux de résidence sont disponibles pour les artistes. Heureusement, voici ce nouvel espace, une vaste fabrique dédiée à la création et au partage artistiques : 2 600 m², répartis sur 4 niveaux … » (Télérama)

https://www.envotrecompagnie.fr/accompagnement-administration-production/laetitia-guédon/

Artiste associée depuis 2015 à La Comédie de Caen / CDN de Normandie, Laëtitia y crée en 2016 « SAMO », en complicité avec l’auteur Koffi Kwahulé.

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