Étiquette : Adelaïde Corinus

Adélaïde Corinus à la B.U.

Du 15 au 26 janvier 2018

Dans le hall de la bibliothèque universitaire

Calebasse, collage, peinture, totems, arts de la table… Adélaïde Corinus articule sa pratique créatrice autour de ces divers matériaux et techniques ; elle présente ainsi son travail : « La capacité de réutiliser, recycler et malaxer la matière et les matériaux, c’est transformer l’utile, le commun en pièce unique et artistique. Une feuille, un fruit, un bout de papier : détourner pour métamorphoser ! « 

Porteuse de mémoire, miroir du patrimoine, lien tissé entre hier et aujourd’hui, cette démarche artistique se veut aussi un éclairage singulier sur l’histoire de nos territoires, plongeant jusqu’à leurs profondeurs amérindiennes, comme en témoigne l’utilisation du mot Kwi dans le titre de l’exposition, et à propos duquel le site Potomintan précise : « Nous disons kwi en créole. Les Amerindiens connaissaient la calebasse avant l’arrivée des euro-afros-indo. Autres exemples de mots créoles ayant pour origine les langues amérindiennes: jurumu qui est devenu giraumon. Kwi est l’ustensile en calebasse »…Entre 2016 et 2017, A. Corinus a exposé à Paris, au Havre, à Fort-de-France, à Schoelcher et au Lamentin.

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Adélaïde Corinus. « Terre de mémoire, fruits de la Terre » » : l’art éperdument !

Bibliothèque Schoelcher jusqu’au 25 novembre 2016

adelaide_corinus-2— Par Christian Antourel —

Lorsque qu’après l’effort l’artiste se pose face à son œuvre, parfois, dans un ultime élan de lâcher- prise alors miracle de la communication il confie ce supplément d’âme, la substantifique moelle qu’il gardait secrête au creux des mots silence. Alors sans pudeur il livre ses fondamentaux de l’art. Adelaïde est de ceux là, libres et vrais dans le geste et dans le verbe

Adélaïde Corinus est toujours à la recherche de nouveaux défis mais aussi de nouveaux  questionnements. «  Comment faire un lien entre hier et aujourd’hui ? Comment vivre et réintégrer ma mémoire ? Partager mon amour de la Caraïbe avec ses habitants passés et présents ? M’enthousiasmer pour mon histoire, ma culture, ma nature, mon métissage pour mieux nourrir mon imaginaire et stimuler mes créations » De cette exploration est née l’exposition contemporaine que nous propose l’artiste avec la réappropriation d’un héritage surgis d’un passé dirigé ; gommant les barrières du temps et qui bascule vers une option futuriste. Son travail se révèle doux et chaud pour affirmer de nouvelles valeurs et inventer l’esprit et son style simplement.

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Terre de mémoire, fruits de la terre

Exposition à la Bibliothèque Schoelcher de Fort-de-France
4 au 25 novembre 2016

adelaide_corinusAdelaïde CORINUS se consacre plus que jamais à l’Art. Qu’il s’agisse de papier, de fleurs, de calebasses ou de peinture, elle invente et crée une dimension vivifiante, qui invite au rêve, au dépaysement, interroge et flatte notre regard et nos sens…
Des émotions d’enfance…
Née en Martinique, Adélaïde CORINUS, dès son plus jeune âge jouit d’une grande capacité de création, de détournement et d’adaptation.
Son ancienne profession d’esthéticienne lui a offert de belles opportunités, et, aujourd’hui retraitée, sa passion l’occupe entièrement.
Une imagination débordante !
C’est à Genève, en Suisse, qu’elle perfectionne ses créations de papiers japonais et papier végétal.
Travailler le papier sous toutes ses formes la conduit à explorer d’autres techniques, telles que la photographie et la peinture.
Elle a travaillé avec nombre d’artistes en peinture et en gravure sur calebasses.
…Et des projets captivants
De septembre 2015 à juin 2016, pour asseoir son travail de recherche, elle s’inscrit en qualité d’auditrice libre au Campus Caribéen des Arts de Fort-de-France.
S’ouvrent alors de nouveaux défis pour sa recherche mais aussi de nouveaux questionnements :
« Faire un lien entre hier et aujourd’hui ?

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Adelaïde Corinus expose​ à ​ l’Hôtel Bakoua jusqu’au 26 juin

corinus-1Après une vie professionnelle et personnelle bien remplie, Adelaïde Corinus se consacre aujourd’hui entièrement à sa passion de toujours : l’Art, et de façon protéiforme.
Tout commence véritablement lors de l’exposition « PAPIE EPI CE TOUT » qui l’a alors totalement émerveillé.
En 2006, elle décide donc de rejoindre l’Atelier « SA SE YO » : une nouvelle quête commence.
Ayant déjà évolué dans le monde artistique, avec une formation en colorimétrie (maquillage, conseil en image et développement personnel), c’est une suite logique dans son parcours.
Adelaïde part au Japon se former en Ikebana.
Petit à petit, elle entrevoit une reconversion toute trouvée pour les années qui suivent : se consacrer entièrement à la recherche artistique et esthétique par le biais de son travail d’artiste.
Son travail de plasticienne se décline aujourd’hui en 3 axes :
– Travail de collage autour du papier sous toutes ses formes,
– Photographie,
– Peinture (techniques mixtes).
Pour parfaire sa formation en papier, elle part à Genève (Suisse) rencontrer Elizabeth Beurret, travaillant ainsi à la création de papier japonais et de papier végétal. Adelaïde s’essaye à recycler le papier dans des oeuvres réalisées à partir de pâte de papier : une nouvelle « vie » pour la matière.

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