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« Woman », un film d’Anastasia Mikova, Yann Arthus-Bertrand

Dimanche 8 mars 2020 à 19h en VO à Madiana

Nationalité Français
Sortie : 4 mars 2020 / 1h 48min / Documentaire

Synopsis :
Woman est un projet mondial qui donne la parole à 2.000 femmes à travers 50 pays différents. Cette très large échelle, n’empêche pas le film d’offrir un portrait véritablement intimiste de celles qui représentent la moitié de l’humanité.
Ce documentaire est l’occasion de révéler au grand jour les injustices que subissent les femmes partout dans le monde. Mais avant tout, il souligne la force intérieure des femmes et leur capacité à changer le monde, en dépit des multiples difficultés auxquelles elles sont confrontées. WOMAN, qui repose sur des entretiens à la première personne, aborde des thèmes aussi variés que la maternité, l’éducation, le mariage et l’indépendance financière, mais aussi les règles et la sexualité.
À travers ce film, vous découvrirez la parole des femmes comme vous ne l’aviez jamais entendue auparavant.

La presse en parle :
Ouest France par Gilles Kerdreux
Au-delà de ses qualités esthétiques, ce film est un plaidoyer pour les femmes.

Femme Actuelle par La rédaction
Il y a mille histoires dans ce film, mille destins, et une belle matière à réflexion(s).

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Droits des femmes : cinq questions sur la journée du 8 mars

Officialisée en 1977 par les Nations-Unies, cette journée couvre plusieurs événements à travers le monde avec comme objectif de célébrer les avancées des droits des femmes. Vie-publique.fr fait le point en cinq questions pour comprendre la création de cette journée.

Que célèbre-t-on le 8 mars de chaque année ?

Le 8 mars est une journée d’action, de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes, l’égalité et la justice.

Plusieurs événements et initiatives ont lieu à travers le monde à cette occasion notamment pour :

  • réfléchir, échanger, se mobiliser pour l’égalité entre les femmes et les hommes ;
  • faire le point sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire sur la place des femmes dans la société.

C’est aussi l’occasion de mettre en avant les initiatives qui placent les femmes au cœur de la création ainsi que leur participation à la vie sociale, politique et économique.
 

Quelle est l’origine de la journée du 8 mars ?

Les Nations-Unies ont officialisé la journée du 8 mars en 1977. Toutefois, cette journée puise ses origines dans l’histoire des luttes ouvrières et des manifestations de femmes au tournant du XXe siècle en Amérique du Nord et en Europe.

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« Adam », un film de Maryam Touzani

Mardi 11, Mardi 18 février 2020 à 19h30. Madiana

Avec Lubna Azabal, Nisrin Erradi, Douae Belkhaouda
Nationalités Marocaine, Française, Belge
5 février 2020 / 1h 40min / Drame

Synopsis :
Dans la Médina de Casablanca, Abla, veuve et mère d’une fillette de 8 ans, tient un magasin de pâtisseries marocaines. Quand Samia, une jeune femme enceinte frappe à sa porte, Abla est loin d’imaginer que sa vie changera à jamais. Une rencontre fortuite du destin, deux femmes en fuite, et un chemin vers l’essentiel.

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
La réalisatrice Maryam Touzani signe un film sensuel et gourmand sur fond de solidarité féminine.

Elle par Françoise Delbecq
Un premier long métrage bouleversant.

Femme Actuelle par Amélie Cordonnier
Un régal pour les yeux et le cœur.

La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
Présenté au Festival de Cannes, ce beau film de femmes épouse le dilemme intenable que doivent affronter les filles-mères, toujours bannies dans le Maroc d’aujourd’hui.

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion
[…] un récit engagé et délicat qui vaut autant pour ses qualités d’écriture que pour l’interprétation bouleversante de ses comédiennes.

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Littérature : nouveautés du 9 février 2020

Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux XVIIe – XVIIIe siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).

La littérature se définit en effet comme un aspect particulier de la communication verbale — orale ou écrite — qui met en jeu une exploitation des ressources de la langue pour multiplier les effets sur le destinataire, qu’il soit lecteur ou auditeur. La littérature — dont les frontières sont nécessairement floues et variables selon les appréciations personnelles — se caractérise donc, non par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique : la mise en forme du message l’emporte sur le contenu, dépassant ainsi la communication utilitaire limitée à la transmission d’informations même complexes.

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« Noura rêve », un film de Hinde Boujemaa

Mercredi 5 – Dimanche 9 février à Madiana à 19h30

Avec Hend Sabri, Lotfi Abdelli, Hakim Boumsaoudi
Nationalités Tunisienne, Belge, Française
13 novembre 2019 / 1h 30min / Drame

Synopsis :
5 jours, c’est le temps qu’il reste avant que le divorce entre Noura et Jamel, un détenu récidiviste, ne soit prononcé. Noura qui rêve de liberté pourra alors vivre pleinement avec son amant Lassad. Mais Jamel est relâché plus tôt que prévu, et la loi tunisienne punit sévèrement l’adultère : Noura va alors devoir jongler entre son travail, ses enfants, son mari, son amant, et défier la justice…
La presse en parle :

BIBA par Lili Yubari
Un vrai coup de poing dans le ventre.

Positif par Denitza Bantcheva
La cinéaste nous montre, en filigrane, le quotidien et les moeurs des petites gens de Tunis, d’une façon d’autant plus éloquente qu’elle ne verse jamais dans le film à thèse.

Voici par A.V.
Un portrait fort et sensible.

20 Minutes par Caroline Vié
Une œuvre forte.

Elle par Françoise Delbecq
Haletant comme un thriller.

Femme Actuelle par Amélie Cordonnier
Face à l’adversité, l’histoire de Noura nous invite à ne pas céder au désespoir, mais au contraire à rêver plus fort.

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« 1917 », un film de Sam Mendes

Avec George MacKay, Dean-Charles Chapman, Mark Strong
Nationalités Britannique, Américaine
15 janvier 2020 / 1h 59min / Drame, Historique, Guerre

Synopsis :
Pris dans la tourmente de la Première Guerre Mondiale, Schofield et Blake, deux jeunes soldats britanniques, se voient assigner une mission à proprement parler impossible. Porteurs d’un message qui pourrait empêcher une attaque dévastatrice et la mort de centaines de soldats, dont le frère de Blake, ils se lancent dans une véritable course contre la montre, derrière les lignes ennemies.

La presse en parle :
aVoir-aLire.com par Virginie Morisson
Un très grand film, qui devrait devenir une référence dans la filmothèque du premier conflit mondial.

CinemaTeaser par Aurélien Allin
Un film total qui transforme un tour de force technique en outil d’immersion et d’émotions.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Sur un sujet délicat, car historique et traumatique, traité avec art : sans conteste le meilleur film de cette rentrée de janvier.

Culturopoing.com par Benedicte Prot
Non content de s’entourer d’une équipe technique et artistique d’exception et de formidablement diriger des acteurs très bien choisis, il faut souligner que Mendes articule son nouveau film autour d’un scénario (…) qui fait honneur à sa mise en scène, et c’est ça qui fait la différence, une sacrée différence

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Sam Mendes fait revivre son aïeul, la bravoure du simple soldat qui est comme tous les simples soldats de cette guerre : un homme toujours en marche, debout, avançant au péril de sa vie.

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« Saveurs confondantes » : exposition éphémère.

Exposition éphémère, proposée par l’association « Conquérantes Intemporelles »

Vendredi 31 janvier 2020 à 18h30 à la bibliothèque Schoelcher

« Fondre de plaisir ! » 

 

6 FEMMES et 1 CONCEPT : FAIRE SENS AUTOUR DES MOTS :

 

Les « Conquérantes Intemporelles » proposent depuis décembre 2016, dans un propos intellectuel et artistique, une alternative au mode d’expression lié à la nécessité de compétition, de comparaison de nos sociétés. « Dans cette formule six femmes placent l’expression de leur féminité, de leurs attentes, de leurs interrogations intimes, de celles qui fondent leur rapport au monde dans une expérience artistique inédite où les arts font sens. Conquérir mais conquérir quoi et pourquoi, pour qui, avec qui et comment ? Comment ? Mais dans l’empathie. L’empathie absolue, érigée en principe, en principe fondateur, en principe moteur… Nous sommes vraiment dans un enchevêtrement et une continuité, une chronique annoncée de ce qui doit venir. Métaphore filée du sens qu’on peut donner à nos vies, à travers l’art. »

 Autour des mots de la poétesse Françoise FOUTOU : une musicienne : Giliane COQUILLE et quatre plasticiennes : Roseline EMONIDES, Nathalie MILIA, Jade AMORY et Nadia BURNER présentent, l’espace d’une soirée, leur vision du monde.

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Mort de Claude Régy : l’épure comme une grâce

Intégrité, sens du mot et du silence… les mises en scène de Claude Régy, mort le 26 décembre à 96 ans, en imposaient par leur rigueur parfois austère. Mais, longtemps après que le rideau était tombé, la force de sa vision du théâtre vous habitait profondément.

“Il est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi, tranquillement, dans une maison de retraite médicalisée”, ont indiqué son compagnon Alexandre Barry et son attachée de presse Nathalie Gasser. Claude Régy était un homme de théâtre respecté qui jusqu’au bout de ses forces a continué à monter des spectacles. Le dernier, “Rêve et Folie” de Georg Trakl avait été programmé au Festival d’Automne 2018 à Nanterre. Claude Régy avait alors annoncé que c’était sa dernière mise en scène.

Lire aussi :Rêve et Folie : Claude Régy à l’apogée de son art  Par Roland Sabra —

Longtemps assistant d’André Barsacq au théâtre de l’Atelier, travaillant la plupart du temps en collaboration avec des dramaturges contemporains, il a amené sur scène des écritures aussi diverses que celles de Peter Handke, Marguerite Duras, Jon Fosse, Arne Lygre, Botho Strauss ou Leslie Kaplan ainsi que les traductions de la Bible par Henri Meschonnic.

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Pétition pour l’élection de Christiane Taubira à l’Académie française

— Par Audrey Bangou —

Le Prix Littéraire Fetkann! Maryse Condé, dans la catégorie Mémoire, a été décerné à Christiane Taubira, pour son dernier ouvrage Nuit d’épine. À cette occasion, une pétition a été lancée pour son élection à l’Académie française. Outre le symbole qu’elle y représenterait, c’est la force de son engagement, la puissance de son éloquence et la richesse de sa langue qui motive cette initiative.

Pour l’élection de Madame Christiane Taubira à l’Académie Française

Vous voici, Madame, à l’apogée d’une vie politique, où vous avez donné l’exemple des vertus nécessaires à un serviteur de haut rang de l’État, où sans perdre de vue l’intérêt de la Nation française, ni les devoirs que l’on doit rendre aux populations nécessiteuses dont les droits furent si longtemps bafoués, vous avez fait chaque fois sur les grands dossiers la preuve d’une pugnacité sans cesse en alerte, toujours vigilante, ne dérogeant jamais aux règles morales que vous vous étiez fixées, que vous nous avez révélées.

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« Primitivismes; une invention moderne « 

— Par Philippe Dagen —

Dans un moment où l’histoire des cultures est en cours de réécriture et ne peut plus être réduite à la chronique des avant-gardes occidentales, et alors que les études postcoloniales ont plusieurs décennies d’ancienneté, une notion est demeurée jusqu’ici à l’abri de toute révision critique : primitivisme. Le mot est d’usage courant dans la langue de l’histoire de l’art autant que dans celle de la critique et du marché de l’art actuel. La notion dont il est dérivé, primitif, ne saurait plus être employée. Mais primitivisme résiste, fort de l’autorité qu’acheva de lui conférer une exposition célèbre du MoMA de New-York en 1984 et les noms de ses plus fameux artistes – Gauguin, Matisse, Picasso, Kirchner, Nolde, Kandinsky, Klee, Miró, Giacometti, etc. – et de ses plus illustres écrivains – Jarry, Apollinaire, Cendrars, Tzara, Breton, Éluard, etc. Aussi est-il nécessaire de mettre à nu tout ce qu’il contient de sous-entendus et de stéréotypes depuis que primitif, dans le dernier tiers du XIXe siècle, est une notion centrale de la pensée occidentale. Premier constat flagrant : le colonialisme des puissances européennes, avec ce qu’il suppose de racisme et de conquêtes, est la condition nécessaire du développement de l’ethnologie, de l’anthropologie et des musées.

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Décembre au cinéma : 2ème décade

Made in Bangladesh

un film de Rubaiyat Hossain

Lourdes

un film de Thierry Demaizière, Alban Teurlai

It Must Be Heaven

un film de Elia Suleiman

La rue de la honte

un film de Kenji Mizoguchi

Dates des projections : ci-dessous

Où se trouvent les meilleures places dans une salle de cinéma, celles qui permettent de profiter le mieux du son et de l’image d’un film ? Plusieurs experts interrogés par des médias américains répondent.

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« Lourdes », un film de Thierry Demaizière, Alban Teurlai

Jeudi 12, dimanche 15 & mardi 17 décembre 2019 à 19h 30 à Madiana

Genre Documentaire
Nationalité français
Date de sortie 8 mai 2019 (1h 31min)

Synopsis :
Le rocher de la grotte de Lourdes est caressé par des dizaines de millions de personnes qui y ont laissé l’empreinte de leurs rêves, leurs attentes, leurs espoirs et leurs peines. A Lourdes convergent toutes les fragilités, toutes les pauvretés. Le sanctuaire est un refuge pour les pèlerins qui se mettent à nu, au propre – dans les piscines où ils se plongent dévêtus – comme au figuré – dans ce rapport direct, presque charnel à la Vierge.

La presse en parle :

Elle par Françoise Delbecq
Le point fort de ce documentaire repose sur la pudeur dans le traitement des images, des cadrages. La caméra est soucieuse de préserver la dignité de ces hommes et de ces femmes. Lourdes n’est alors plus qu’un berceau d’humanité et nous, spectateurs, sommes submergés par l’émotion.

Le Figaro par Marie-Noëlle Tranchant
Thierry Demaizière et Alban Teurlai révèlent dans leur documentaire les vrais miracles quotidiens. Lumineux.

Le Parisien par Pierre Vavasseur
Un documentaire puissant.

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Petit illustré des droits de l’enfant à l’adresse de tous

— Par Camille Bauer —

Le Dictionnaire des droits de l’enfant Marie-Françoise Lücker-Babel, illustrations Pauline Kerleroux La Joie de lire, 293 pages, 19,90 euros
De « abandon » à « zoom », 580 définitions sont à la disposition du lecteur pour découvrir et comprendre les droits de l’enfant, le droit à la protection et au respect, les libertés et les devoirs. Presque tous les domaines sont abordés : l’éducation, la famille, la santé, la protection des données personnelles, la salubrité de l’environnement, les migrations, le développement durable, l’égalité, la non-discrimination, la justice et la paix.
Un livre complet mais tout à fait accessible à un enfant de 10 ans.

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L’éphéméride du 2 décembre

Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie est couronnée impératrice des Français le 2 décembre 1804 

Napoléon Bonaparte est — le 2 décembre 1804 — sacré empereur en présence du pape Pie VII à Notre-Dame de Paris. C’est lui-même qui se couronne et pose la couronne impériale sur la tête de son épouse Joséphine, la proclamant impératrice tandis que Pie VII se contente de bénir la couronne. Aucune des trois sœurs de Napoléon ne voulant porter la traîne de l’impératrice, l’Empereur a dû se fâcher pour les y contraindre mais elles s’amusent à tirer dessus pour que Joséphine trébuche

Lire aussi : Joséphine, responsable du rétablissement de l’esclavage par Napoléon?

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Fatou Sow, défricheuse du féminisme africain

A 79 ans, la sociologue sénégalaise, qui a notamment introduit les études féministes dans son pays, n’a rien perdu de la fougue qui l’a toujours animée et dénonce plus que jamais les conservatismes culturels et les fondamentalismes religieux qui menacent les droits des femmes africaines

Fatou Sow est l’une de ces femmes de tête dont l’élégance altière et la grandeur de caractère compensent une taille qu’elle dit volontiers « petite ». La voix douce et le visage serein dissimulent mal une détermination que l’on devine sans faille. Et l’on peut imaginer sans peine que cette Sénégalaise de 79 ans n’a guère manqué de courage sa vie durant : elle a dû être animée d’une volonté de fer pour parvenir à s’imposer comme une sociologue féministe dans le milieu très masculin de la recherche. Fatou Sow est une pionnière.

Née en 1940 à Dakar dans une famille de lettrés originaire de Saint-Louis, elle est l’une des 2 femmes parmi 300 étudiants à entrer à l’université lorsque son pays devient indépendant, en 1960. Elle sera, se souvient-elle, « la seule femme membre du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique [Codesria] dès sa création en 1973 » – elle y créera d’ailleurs le premier institut sur le genre, en 1994.

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« Le traître », un film de Marco Bellocchio

Jeudi 21 Novembre 2019. Madiana 19h 30.

Avec Pierfrancesco Favino, Maria Fernanda Cândido, Fabrizio Ferracane
Genres Biopic, Drame
Nationalités Italien, Français, Allemand, Brésilien
Date de sortie 30 octobre 2019 (2h 31min)

Synopsis :
Au début des années 80, la guerre entre les parrains de la mafia sicilienne est à son comble. Tommaso Buscetta, membre de Cosa Nostra, fuit son pays pour se cacher au Brésil. Pendant ce temps, en Italie, les règlements de comptes s’enchaînent, et les proches de Buscetta sont assassinés les uns après les autres. Arrêté par la police brésilienne puis extradé, Buscetta, prend une décision qui va changer l’histoire de la mafia : rencontrer le juge Falcone et trahir le serment fait à Cosa Nostra.

La presse en parle :

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Portrait sanglant et saignant du plus célèbre repenti de l’Italie, Tommaso Buscetta. Une histoire réelle restituée avec force au cinéma, sur la pègre et les hommes de l’antimafia.

Elle par Françoise Delbecq
Dans le rôle du repenti, l’excellent Pierfrancesco Favino qui, loin de se contenter d’habiter son personnage de manière honnête, le transcende.

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Sciences sociales: nouveautés du 17 novembre 2019

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sauver l’hôpital!

La lettre adressée à Emmanuel Macron

M. le Président de la République Française

Palais de l’Elysée

55 rue du Faubourg-Saint-Honoré, 75008 Paris

« Monsieur le Président,

Le Grand débat que vous avez organisé a réclamé « plus de service public ». Il a mis au premier rang la Santé et l’Hôpital public.

Pourtant la situation sur le terrain est devenue réellement intenable : les difficultés d’accès aux soins s’accroissent, la qualité et la sécurité des soins se dégradent et nous observons l’épuisement et l’inquiétude des personnels hospitaliers.

Ces difficultés, les usagers de l’hôpital public les constatent tous les jours et en parlent dans les courriers qu’ils adressent aux directions hospitalières.

Des drames se produisent, touchant toutes les catégories professionnelles de l’hôpital mais également les patients. Ces pertes de chance liées au manque de moyens sont inacceptables. On ne peut plus, vous ne pouvez plus attendre de nouveaux drames pour mettre en œuvre un plan d’urgence pour sauver l’hôpital public.

Nous, usagers de la santé et citoyens, soutenons la demande des personnels hospitaliers d’un financement supplémentaire, nécessaire pour :

– Assurer l’ouverture de lits afin que les malades puissent être hospitalisés quand c’est nécessaire et qu’ils ne passent plus des heures voire des jours à attendre couchés sur des brancards ;

– Embaucher le personnel nécessaire dans tous les services pour assurer l’accueil, la sécurité, la qualité et la continuité des soins ;

– Revaloriser les salaires des personnels hospitaliers sachant que nous sommes en 26e position sur les 35 pays de l’OCDE pour le salaire des infirmières.

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Sciences sociales : nouveautés du 10 novembre 2019

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 06 novembre 2019

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Le prix Goncourt 2019 décerné à Jean-Paul Dubois

Le prix Goncourt a été décerné ce lundi à Jean-Paul Dubois pour « Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon ». Une consécration synonyme de gloire, mais aussi de nouveaux revenus puisqu’elle entraîne des ventes importantes pour le lauréat, suivie ensuite d’une tournée internationale de dédicaces. Quatre écrivains étaient en course pour le prix Goncourt 2019 le plus prestigieux du milieu littéraire français : Amélie Nothomb, Jean-Luc Coatalem, et Olivier Rolin étaient aussi dans la course.
Le jury de l’académie Goncourt est présidé par Bernard Pivot et se compose d’Eric-Emmanuel Schmitt, Didier Decoin, Paule Constant, Patrick Rambaud, Tahar Ben Jelloun, Virginie Despentes, Françoise Chandernagor, Philippe Claudel et Pierre Assouline.
Le prix Renaudot a été remis à Sylvain Tesson pour « La Panthère des neiges ».
Le Renaudot de l’essai a été remis à Eric Neuhoff, pour « (Très) très cher cinéma français »

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« Sorry We Missed You », de Ken Loach. À ne manquer sous aucun prétexte!

Diffusion avec des horaires restreints à Madiana.  Mardi 5 novembre 2019 à 19h.

Avec Kris Hitchen, Debbie Honeywood, Rhys Stone
Genre Drame
Nationalités Britannique, Belge, Français
Date de sortie 23 octobre 2019 (1h 40min)

Synopsis :
Ricky, Abby et leurs deux enfants vivent à Newcastle. Leur famille est soudée et les parents travaillent dur. Alors qu’Abby travaille avec dévouement pour des personnes âgées à domicile, Ricky enchaîne les jobs mal payés ; ils réalisent que jamais ils ne pourront devenir indépendants ni propriétaires de leur maison. C’est maintenant ou jamais ! Une réelle opportunité semble leur être offerte par la révolution numérique : Abby vend alors sa voiture pour que Ricky puisse acheter une camionnette afin de devenir chauffeur-livreur à son compte. Mais les dérives de ce nouveau monde moderne auront des répercussions majeures sur toute la famille…

La presse en parle :
Elle par Françoise Delbecq
Un film magnifique qui décortique les ressorts de l’ultralibéralisme. Implacable.

La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
Implacable et poignant.

Le Journal du Dimanche par Stéphane Joby
C’est brillant, implacable, poignant et raconté sobrement, sans discours politique ni pathos.

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Ce que masque le voile.

— Par Jacky Dahomay —

Une nouvelle polémique, dont la France a obscurément le secret, oppose ceux qui défendent le droit qu’ont les mères de confession musulmane d’accompagner leurs enfants lors de sorties scolaires en restant voilées et ceux, à l’inverse, qui considèrent que c’est manifester une appartenance religieuse dans un cadre qui demeure scolaire, ce qui contredit en quelque sorte la laïcité. Le plus surprenant est que cette affaire a provoqué des réactions politiques et médiatiques d’une ampleur telle que cela a consterné les autres pays démocratiques et nous convoque inévitablement à penser le surgissement d’un tel événement et à saisir son sens véritable. Chose difficile, il va sans dire.

Il faut tout de même reconnaître que le système capitaliste néolibéral traverse une crise sans précédent, aussi bien sociale, économique que politique et culturelle. Ce déboulé des colères qui saisit les peuples de bien des régions du monde, déroute aussi bien les partis politiques que les syndicats ce qui rend leur lecture problématique. Des chefs d’Etat attisent les crispations identitaires pour voiler le phénomène. Tout se passe comme si nous étions bombardés de signes ce qui produit une déroute de la pensée dans un monde qui commence à sentir le brûlé.

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« Nuit noire, 17 octobre 1961 » un film d’Alain Tasma

Avec Thierry Fortineau, Lyèce Boukhitine, Frank Berjot
Genres Drame, Historique
Nationalité Français

Synopsis :
Le 17 octobre 1961, une foule d’Algériens vient manifester au nom du FLN pour son indépendance au centre de Paris. Ce rassemblement pacifique va s’achever par un bain de sang : des milliers d’Algériens arrêtés et des cadavres repêchés dans la Seine, telle est l’étendue des dégâts provoqués par la manifestation. Les évènements sont racontés par différents personnages : un ouvrier de nuit non militant, un policier syndicaliste, un cadre du FLN. Le film revient également sur l’implication du préfet Maurice Papon dans cette sombre affaire…

La presse en parle :

Le Monde par Jean-Luc Douin
(…) Un film qui retrace ces faits sans caricaturer aucun des camps, dénonçant les excès des uns comme ceux des autres, et qui dit la vérité en faisant se croiser des personnages fictifs (…) Il est si rare que la télévision donne l’exemple.

MCinéma.com par Philippe Scrine
« Nuit noire » parvient à éviter les écueils de la sensiblerie, le manichéisme et la simplification. (…) Alain Tasma multiplie les points de vues comme presque autant de comportements humains, et tous ses personnages, pourtant imaginaires en dehors d’un seul, Maurice Papon, donnent à l’ensemble une impression de vérité.

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Sciences sociales : nouveautés du 13 octobre 2019

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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