Marée d’éloges pour le «conte de fées» La Forme de l’eau

A voir à Madiana

De Guillermo del Toro
Avec Sally Hawkins, Michael Shannon, Richard Jenkins
Genres Fantastique, Drame, Romance
Nationalité américain

Synopsis:
Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres…

REVUE DE PRESSE – La critique s’est laissée emporter dans un tourbillon de louanges pour ce «conte de fées humaniste» au «charme lyrique inédit» signé Guillermo del Toro.

Nommé dans 13 catégories à la 90e cérémonie des Oscars, La Forme de l’eau débarque dans les salles de cinéma françaises ce mercredi. La presse hexagonale ne tarit pas d’éloges, majoritairement conquise par le dixième long-métrage de Guillermo del Toro, qui conte la romance entre une jeune femme muette et une créature aquatique.

Elsa (Sally Hawkins) est employée en tant que modeste femme de ménage au centre ultraconfidentiel de recherches aérospatiales de Baltimore. Cette dernière, isolée par son mutisme, peut compter sur son amie «grande gueule» Zelda pour la protéger. La vie d’Elsa va basculer le jour où un monstre marin, capturé par les militaires américains, est confiné dans un aquarium souterrain du centre. Sur fond de guerre froide, le film oscille entre série B fantastique, comédie musicale, science-fiction, drame social ou mélodrame amoureux. Marée d’éloges pour la presse, emportée par le dixième long-métrage de Guillermo del Toro.

Pas de place au cynisme, naïveté assumée

La Forme de l’eau laisse place à une naïveté enfantine qui semble avoir séduit la critique. À commencer par Première , pour qui ce «conte de fées pour adulte» doublé d’une «fable politique», fait figure de «déclaration d’amour au cinéma». On retrouve le champ lexical de la magie dans la critique de Fadette Drouard du magazine Bande à Part , qui souligne la «féerie» de ce film «ivre de beauté et de puissance». Sur le site Culturopoing.com , les chroniqueurs y voient une «fable humaniste dont la naïveté assumée refuse toute forme de cynisme». ..
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La presse en parle :
aVoir-aLire.com par Julien Dugois
Même si la naïveté du postulat peut freiner les cyniques, la beauté du nouveau conte gothique de Guillermo del Toro atteint une universalité et une résonance politique qui sont la marque des plus grands chefs-d’œuvre du genre. Brillant.

Bande à part par Fadette Drouard
Film après film, créature après créature, Guillermo del Toro poursuit son entreprise d’enchantement, allant puiser à la source de notre imaginaire collectif une véritable eau des merveilles. Ivre de beauté et de puissance, « La Forme de l’eau – The Shape of Water » est de la même veine féérique.

Culturopoing.com par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli
Geste de cinéma total, fable humaniste dont la naïveté assumée refuse toute forme de cynisme, « La Forme de l’eau » est à la fois une œuvre de synthèse et de mutation pour Guillermo Del Toro, une sorte de versant lumineux du « Labyrinthe de Pan ».

Elle par Françoise Delbecq
« La Forme de l’eau » est donc un film sur la tolérance, et même sur la bienveillance – chercher l’humanité jusque chez les créatures les plus improbables. Une pure merveille.

Femme Actuelle par La rédaction
Entre thriller et mélodrame, ce film magnifiquement réalisé va vous emporter.

Filmsactu par La rédaction
Une réussite totale et certainement le film que l’on attendait tous de Guillermo del Toro dont le talent va enfin pouvoir être reconnu et célébré au delà de la sphère des geeks et adorateurs de créatures que nous sommes.

La Septième Obsession par Loris Hantzis
Si « La Forme de l’eau » ne s’arrête jamais pour converser, c’est pour mieux laisser la précision vertigineuse de la mise en scène travailler ses thèmes dans l’action. Les symboles paraissent évidents mais ils approfondissent toujours les différents sous-textes abordés par le cinéaste.

L’Ecran Fantastique par Yann Lebecque
A la fois couronnement d’une carrière – pour ne pas dire chef-d’oeuvre -, déclaration d’amour au cinéma de monstre et hommage à une époque, « La Forme de l’eau » est une merveille de bout en bout.

Le Monde par Jacques Mandelbaum
La Forme de l’eau est l’enchantement miroitant d’une forme en perpétuel mouvement. Un conte de fées baigné dans une diaprure bleu-vert, une comédie musicale dansée sur les ailes irisées du temps, une impossible histoire d’amour transgenre sous nos yeux scandaleusement consommée, un chant d’amour à l’égarement incongru, à la fantaisie salvatrice.

Le Parisien par Renaud Baronian
Il faut se laisser porter par cette fantaisie fantastique en prenant le risque de pleurer souvent, de rire par moments, et de s’enthousiasmer. Ce film fait un bien fou.