Le cadavre du CMAC bouge encore… pour nuire

Fin de quinquennat, l’ex-directrice de la scène nationale de la Martinique, limogée fin 2012, contre l’avis de l’Etat suite à un conflit politique, n’a toujours pas reçu ses indemnités de licenciement.

2013, Le conseil de prud’hommes de Fort-de-France condamne la scène nationale pour licenciement abusif.

Décembre 2014, |a cour d’appel de la Martinique confirme le licenciement, 10 jours plus tard, le jugement est modifié(?), Ie ministère de la culture est considéré comme responsable du contrat de la directrice.

Octobre 2016, la cour de cassation de Paris casse l’arrêt de la cour d’appel de la Martinique. Le licenciement abusif est confirmé.

Mars 2017, ce qu’il reste du CMAC refuse les conclusions de la cour de cassation et l’affaire est reportée devant la cour d’appel de la Guadeloupe. (quand ?)

Aujourd’hui, les courriers des trois ministres femmes de la culture restent sans suite. L’administration ne gère pas ce dossier de façon légale ni conforme à l’éthique professionnelle. Blacklistée, discriminée, laissée pour compte, l’ex-directrice refuse ces dérives de la république et ses droits bafoués.

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