Habitations et industries agricoles de la Martinique en 1960, Atlas foncier par commune

Mardi 15 mai 2018  à 18 h à la C.T.M.

En présence de Christian Crabot, auteur, Bernard de Reynal, contributeur

et Françoise Pagney, professeur des universités

mardi 15 mai 2018, salle Emile Maurice – Hôtel de l’assemblée de la CTM, avenue des Caraïbes, Fort-de-France

Merci de confirmer votre présence au 05 96 55 43 43 ou sur

archives-inscription@collectivitedemartinique.mq

La grande plantation moderne, fondamentalement liée à la production du sucre a longtemps été un cadre très contraignant. Elle a littéralement moulé la société martiniquaise, lui imposant son organisation économique interne et ses rapports économiques avec l’extérieur. Secouée par diverses crises, elle n’avait cependant jamais connu un ébranlement tel que celui qui la fit commencer à céder de son emprise au cours des années 1960-70.

Cet atlas foncier, établi à partir de données collectées et cartographiées en 1959-60 mais restées inédites, est le reflet ultime du microcosme martiniquais de la terre et de l’usine à la veille de sa profonde mutation et dont les traces affleurent encore sous la société actuelle et dans les esprits.

En livrant au public ces notices, commune par commune, illustrées de cartes et de photographies, les auteurs nous invitent à poser un regard sur un paysage rural, si fortement transformé en l’espace de deux générations.

Christian Crabot, géographe de formation, connaît la Martinique depuis son premier séjour, comme professeur au lycée Schœlcher de 1956 à 1959. C’est alors qu’il étudie l’économie agro-industrielle et recueille, en collaboration avec Jean Benoist, les informations publiées dans le présent Atlas

Jean Benoist, médecin à l’Institut Pasteur de Martinique de 1956 à 1960, se tourne vers l’anthropologie dès la fin des années 1950. Professeur à l’Université de

Montréal puis d’Aix-Marseille, il a publié et dirigé de nombreuses études et des thèses sur l’anthropologie de la Caraïbe et des sociétés créoles ; il est aussi l’auteur de travaux reconnus en anthropologie médicale. Il a créé et dirigé le Centre de recherches caraïbes de l’Université de Montréal au Fond-Saint-Jacques (Martinique), de 1968 à 1979.

en présence de Christian Crabot, auteur, Bernard de Reynal, contributeur

et Françoise Pagney, professeur des universités

mardi 15 mai 2018, salle Emile Maurice – Hôtel de l’assemblée de la CTM, avenue des Caraïbes, Fort-de-France

Merci de confirmer votre présence au 05 96 55 43 43 ou sur

archives-inscription@collectivitedemartinique.mq

La grande plantation moderne, fondamentalement liée à la production du sucre a longtemps été un cadre très contraignant. Elle a littéralement moulé la société martiniquaise, lui imposant son organisation économique interne et ses rapports économiques avec l’extérieur. Secouée par diverses crises, elle n’avait cependant jamais connu un ébranlement tel que celui qui la fit commencer à céder de son emprise au cours des années 1960-70.

Cet atlas foncier, établi à partir de données collectées et cartographiées en 1959-60 mais restées inédites, est le reflet ultime du microcosme martiniquais de la terre et de l’usine à la veille de sa profonde mutation et dont les traces affleurent encore sous la société actuelle et dans les esprits.

En livrant au public ces notices, commune par commune, illustrées de cartes et de photographies, les auteurs nous invitent à poser un regard sur un paysage rural, si fortement transformé en l’espace de deux générations.

Christian Crabot, géographe de formation, connaît la Martinique depuis son premier séjour, comme professeur au lycée Schœlcher de 1956 à 1959. C’est alors qu’il étudie l’économie agro-industrielle et recueille, en collaboration avec Jean Benoist, les informations publiées dans le présent Atlas

Jean Benoist, médecin à l’Institut Pasteur de Martinique de 1956 à 1960, se tourne vers l’anthropologie dès la fin des années 1950. Professeur à l’Université de

Montréal puis d’Aix-Marseille, il a publié et dirigé de nombreuses études et des thèses sur l’anthropologie de la Caraïbe et des sociétés créoles ; il est aussi l’auteur de travaux reconnus en anthropologie médicale. Il a créé et dirigé le Centre de recherches caraïbes de l’Université de Montréal au Fond-Saint-Jacques (Martinique), de 1968 à 1979.