Faute d’Amour

Vendredi 13 à 19h30. VO Madiana

(Prix du Jury Cannes 2017 )
Andreï Zviaguintsev

-Russie- 2h09 De Andrey Zvyagintsev
Avec Alexey Rozin, Maryana Spivak, Marina Vasilyeva
Genre Drame
Nationalités russe, français, belge, allemand

Synopsis : Boris et Genia sont en train de divorcer. Ils se disputent sans cesse et enchaînent les visites de leur appartement en vue de le vendre. Ils préparent déjà leur avenir respectif : Boris est en couple avec une jeune femme enceinte et Genia fréquente un homme aisé qui semble prêt à l’épouser… Aucun des deux ne semble avoir d’intérêt pour Aliocha, leur fils de 12 ans. Jusqu’à ce qu’il disparaisse.

La presse en parle :

20 Minutes par Caroline Vié
Le film raconte comment un couple en plein divorce se voit contraint de refaire cause commune pour rechercher leur fils de 12 ans mystérieusement disparu. Et c’est bouleversant.

Bande à part par Jo Fishley
De la Russie poutinienne, le réalisateur d’Elena et du Léviathan n’aura jamais donné des nouvelles aussi sombres, aussi noires, de son anéantissement moral et de ses gouffres. Il remonte une monstruosité insupportable que chacun comprend et peut faire sienne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part.

Culturopoing.com par Vincent Nicolet
Certains films, certains récits vous touchent au plus profond de votre être à un point tel qu’à l’issue de la projection rien n’est plus tout à fait pareil, comme si vous en sortiez changé. Reparti du dernier festival de Cannes avec le prix du jury, Faute d’Amour fait partie de cette catégorie rare.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

La Croix par Arnaud Schwartz
Andreï Zviaguintsev, au sommet de son art, signe un film sobre et bouleversant, qui lui a valu le prix du jury du 70e Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix

La Voix du Nord par Philippe Lagouche
Cette sécheresse de trait qui irradie le jeu des comédiens, ce regard clinique, ce refus de tout psychologisme, cette forme de thriller vers laquelle tendent, mine de rien, tous ses films ! Tout ce qui confère à cette œuvre majestueuse une valeur universelle.

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Une vision âpre et désespérée d’un monde sans amour, où tout respire le manque de chaleur, en transcendant – et c’est tout l’art du réalisateur – la simple scène conjugale pour prendre valeur d’analyse d’un pays tout entier : le plus beau, et le plus grand, film présenté à Cannes, qui eût cent fois mérité la palme et a dû se contenter du prix d’un jury bien mal inspiré.