Buena Vista Social Club: Adios

Mardi 21 novembre 2017  19h 30 Madiana V.O.

De Lucy Walker
Avec Ibrahim Ferrer, Omara Portuondo, Manuel Mirabal
Genre Documentaire

Synopsis : Le parcours du groupe dans la captivante histoire musicale de Cuba, tandis que ses membres reviennent sur leurs remarquables carrières et les extraordinaires circonstances qui les ont réunis.

La presse en parle :

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Au rythme vient s’ajouter l’émotion qui baigne un hommage qui a toute la nostalgie d’un adieu.

Le Figaro par Claire Conruyt
Le documentaire de Lucy Walker célèbre l’immortalité d’un orchestre éternel par son prodige.

Le Nouvel Observateur par François Forestier
Il y a les vivants, octo ou nonagénaires, et les morts. Et, surtout, il y a des moments d’émotion magiques : les retrouvailles de Ferrer et d’Omara sur scène, le premier concert hors de Cuba, l’accueil à New York, les doigts de Ruben Gonzalez sur les claviers… Ça fait chaud au cœur.

Critikat.com par Nicola Brarda
Profitant de la dernière tournée du collectif en 2016, vingt ans après sa naissance, Lucy Walker se livre avec Buena Vista Social Club : Adios à l’exploration des coulisses d’un mythe musical.

Le Journal du Dimanche par E. M.
Un film touchant et diablement musical.

Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Lucy Walker éclaire les vies des musiciens du Buena Vista Social Club, et tisse un lien entre leur musique, l’histoire de leur pays et celle du monde.

Positif par Hubert Niogret
Lucy Walker produit un travail intéressant, esquisse la personnalité des plus émouvants, sans effacer les amitiés ou les conflits à propos d’un enregistrement.

Télérama par Anne Berthod
Ceux qui avaient vu le film de Wim Wenders en 1999 et, donc, ­suivi les hauts faits de ces vétérans du son n’apprendront pas grand-chose. Aux autres, ce film-bilan propose une émouvante session de rattrapage.

Le Monde par Thomas Sotinel
Les amoureux de cette belle bande de vieillards y trouveront leur compte. Les autres…

Les Inrockuptibles par Bruno Deruisseau
Si les aficionados renoueront avec bonheur avec l’énergie communicative d’Omara, Ibrahim et Compay Segundo, Adios a, en vérité, tout d’un plat mal réchauffé, d’un produit marketé tout juste bon à figurer en bonus d’une édition DVD du film de Wenders.